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Une vie de boy : la transformation de Toundi

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Par   •  5 Juin 2018  •  Analyse sectorielle  •  1 097 Mots (5 Pages)  •  1 963 Vues

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Claire Chevallier Monsieur Warner FRE 124

23 Avril, 2018

Le transformation de Toundi: Une analyse

Elevé par un prêtre et un commandant blanc, protagoniste Toundi prend le nom Joseph pour devenir la proie de l’illusion que les blancs lui aident et lui traitent comme égale. Dans les deux derniers paragraphes sur la page 24 de son roman Une Vie de Boy , écrivain Ferdinand Oyono présent Toundi comme initialement naïf et inconscient de son manque de la liberté pour montrer que les blancs ont trompé les natifs par complètement envahir leur agence. Oyono a fait cette transformation de Toundi pour communiquer que, vu un monde où les Européens colonise les territoires Africains et les manipulés pour maintenir leur pouvoir et leur territoire, une fois que Toundi devient conscient de son maltraitement, il ne peut même pas échapper la menace des blancs — seulement la mort pouvait libérer Toundi des injustices imposés par le racisme coloniale.

Oyono présent Toundi, le narrateur, comme peu fiable et initialement pas conscient de la manière injuste dont les blancs le trait. Il décrit Toundi comme ça pour montrer le degré que les colonisateurs ont vraiment profiter des natifs et les ont manipulés pour qu’ils ne remarquent même pas qu’il étaient maltraités. Du coup, Toundi exprime, “Je dois ce que je suis devenu au père Gilbert. Je l’aime beaucoup, mon bienfaiteur” (Oyono, 24). Initialement, Toundi est reconnaissant de tout ce que le père Gilbert lui a donné après avoir échappé ses parents violents

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2 — il est même fière d’être son boy. Il dit,“je suis son boy, un boy qui sait lire et écrire, servir la

messe, dresser le couvert, balayer sa chambre, faire son lit... je ne gagne pas d’argent.” Il connaît tous les travaux qu’il fait comme un boy et qu’il ne gagne pas d’argent. Ca montre nous que même s’il reconnaît qu'il n’est pas récompensé financièrement pour son travail, il se sent toujours spéciale comme un “chef d’oeuvre” du père Gilbert. Il n’est pas maturé au point qu’il comprend qu’il est essentiellement traité comme un esclave. Oyono souligne aussi le mot “boy”; il le répète pour insister que Toundi est toujours traité comme un enfant et comme un serveur.

Toundi n’est vraiment pas conscient de sa manque de la liberté. Il dit naïvement ,“lorsque j’étais petit [il] me considérait comme un petit animal familier. Il aimait tirer mes oreilles et, pendant ma longue éducation, il s’est beaucoup amusé de mes émerveillements” (24). Toundi n’est pas conscient que le père lui traite comme inférieur parce qu’il pense que c’est normale et mignon d’etre traiter comme “un petit animal.” Toundi ne rend pas compte que l’amusement du père Gilbert est, en vrai, condescendant et moqueur. Toundi explique aussi que “le prêtre [lui] fait cadeau d’une vieille chemise ou d’un vieux pantalon” (24). Le fait que Toundi considère de vieux vêtements qui étaient déjà utilisé et secondaire comme des cadeaux nous donne l’indice qu’il est naïf et pas conscient de son maltraitement. En plus, les chemises et les pantalons sont des vêtements français. Alors, le père Gilbert lui trompe en lui faire croire que le père lui donne des “cadeaux”, mais en fait non pas ce un effort pour lui faire assimiler au culture français mais il lui donne des vêtements

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