Texte Explicatif La Peste

Texte explicatif de la première de couverture :

Pour cette première de couverture, j'ai sélectionné une photo prise par Dominique Houcment le vendredi 13 mars 2009 a la rue de Poule, à Liège, en Belgique sur la laquelle j'ai collé la photo d'un rat mort.

J'ai choisi cette photo car pour moi elle représente au mieux la peste et son atmosphère. De par les couleurs sombres, ici le noir et le blanc. Caractérisant ainsi la tristesse et l'isolement dans laquelle la ville et ses habitantes se trouvent après l'annonce de l'épidémie. Par ailleurs, cette rue est presque déserte, nous apercevons seulement au loin trois personnes. En effet, en temps de peste, les habitants ont un couvre-feu et se doivent de le respecter. Ainsi sur cette photo, nous voyons l'éclairage des lampes, indiquant que c'est le soir et qu'il ne faut plus tarder. Cette subite irruption de la maladie, qui marque un contraste saisissant avec la routine de la population, traduit cette idée d’un enfermement de l’homme dans sa maison.Quant au choix de l'ajout du rat, il se caractérise par l'élément clé de la peste. Puisque c'est lui qui est à l'origine de ce fléau, lorsque le docteur Rieux découvre le cadavre d'un rat, puis un autre, puis un nombre invraisemblable de rats morts un peu partout dans cette ville bientôt condamnée à mourir.

Texte explicatif de la quatrième de couverture :

Pour cette quatrième de couverture, j'ai fais la critique du roman La peste.

Selon moi, c'est ce qui est préférable pour mettre en avant ce roman bouleversant qui se vaut la peine d'être lu. J'ai parlé de la condition humaine et de l'absurdité de l'existence car qu'est-ce-qu'une vie d’exil, sans plus personne à ses côtés, sans plus personne à qui parler ? Une vie qui au fil du temps ne va rimer à rien et va perdre tout son sens. Une vie ou les habitants vont devoir apprendre à vivre sans mémoire et sans avenir certain et ou les conditions humaine vont être mises à l’épreuve de par la restriction de la nourriture en passant par l'éclairage dans les maisons. Mais l'homme doit malgré tout se battre contre la souffrance humaine, il se doit d'agir. Ainsi pour nous, lecteur, ceci est la plus belle leçon d'optimisme car après avoir partagé ce cauchemar au travers des lectures, plus rien ne peut nous atteindre, et nous nous devons de relativiser quant aux choses banales de la vie en comparaison à ce fléau qui restera gravé dans nos mémoires pour longtemps.

...