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Test sur Molière

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Par   •  26 Mars 2017  •  Cours  •  1 634 Mots (7 Pages)  •  530 Vues

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Littérature Française

25/01/17

BV : Doc et biblio

Marjolène.Coquet@univ-lyon2.fr

Partiel : une question de cours

Folio classique Gallimard 1985

Culture Box

Molière

Un des plus grands dramaturges Français, connu pour sa grande aisance dans le comique et pour la plasticité de sa langue.

On connait peu de chose sur ces origines familiales, les raisons de pourquoi il a choisit le théâtre…

Le théâtre est le genre majeur du XVII, la spécialité de Molière est le comique et l’a fait entrer au panthéon des grands genres.

On assiste au XVII à un renouveau du genre comique. Molière va lui donner ses lettres de noblesses. Il lui donne à travers les procédés comiques une gravité particulière.

De ses comédies ressort une connaissance aigüe de l’âme humaine. Loin des caricatures et du manichéisme de la farce. Mais tout en ce servant de ces procédés pour nous faire entrer dans la peau de personnage ; ridicule, rieur, ironiste, ironisé, innocent, méchant, ignorant, savant….

De quoi, et qui rit-on alors au théâtre ?

Aristote à écrit la poétique du théâtre, c’est son œuvre majeur.C’est généralement la chose à laquelle on se réfère lorsqu’on écrit une pièce. Mais, cette œuvre se concentre sur la tragédie. On a en effet perdu le deuxième livre sur la comédie. Ce manque théorique peu sembler sans importante, mais ce n’est pas le cas ; en effet au XVII il y a besoin de s’appuyer sur une autorité ancienne, hors en comédie il n’y en a pas.

N’ayant rien sur la comédie, c’est donc un genre décrié à l’époque, mal considéré.

La comédie est donc d’une part non considéré par les létrés; et d’un autre côté elle a un public universel.

L’école des Femmes

Ecrit en V actes et en alexandrin, tel une pièce classique dont il applique les règles au comique, c’est en ce sens qu’il donne ses lettres de noblesses à la comédie, par cette écriture et cette pièce en particulier.

On y voit une peinture de la vie, cependant généralement avec des exagérations, bien que possible. C’est un problème reproché à la pièce, elle pose des questions beaucoup trop sérieuse et possible.

Résumé de la pièce

Agnès : jeune orpheline élevé par Arnolphe son tuteur, homme d’âge mur voulant se marier mais obsédé par l’idée d’être tromper. Il lui procure une éducation qui vise à la maintenir dans un état d’ignorance et de dépendance qui est censé garantir un état de fidélité.

Hors, Horace, fils d’un ami d’Arnolphe, tombe amoureux d’Agnès et vient lui  faire la cour quand Arnolphe n’est pas là. Il avouera la chose à Arnolphe, qu’il ne sait pas être le tuteur de la jeune fille.

Acte II

Arnolphe ordonne à Agnès de ne plus voir Horace et décide de hâter son mariage avec elle après s’être assuré que rien ne c’est passé entre eux.

Agnès croit qu’elle veut lui laisser épouser Horace, mais Arnolphe la détrompe.

Acte III

Arnolphe expose à Agnès les rudiments des devoirs conjugaux (scène des Maximes).

Horace va révéler à Arnolphe que la jeune fille est parvenu à entrer en contact avec lui, et lui a avoué son amour. Arnolphe, humilié, fait dans un monologue l’aveu de son réel amour pour Agnès.

Acte IV

Horace révèle à Arnolphe qu’il est parvenue à entrer dans la maison de la jeune ou elle à du le cacher dans une armoire à l’arriver de son tuteur et qu’il a rdv avec elle le soir même. Arnolphe de plus en plus surprit et faché auprès d’Horace, donne ses consignes à ses domestiques pour l’empêcher d’entrer.

Acte V

Dialogue Arnolphe et Horace,  qui conte son altercation avec les domestiques, il a du faire le mort, il a ensuite pu réussir à rejoindre Agnès et c’est enfuit avec elle, il confit à Arnolphe Agnès sans savoir qu’il est son tuteur.

A ce moment entre Oronte, père d’Horace, Oronte veut faire épouser à H la fille d’un de ses amis (Enrique). Horace désespéré se tourne vers A pour qu’il plaide sa cause auprès de son père, mais Arnolphe se révèle comme le tuteur d’Agnès et explique ses inttentions, et se place du côté d’Oronte.

Mais on découvre qu’Agnès est la fille d’Enrique, plus rien ne s’oppose à l’union de H et A.

Tout finit bien.

La pièce  pose plusieurs problèmes : l’émancipation féminine à une époque ou les jeunes filles sont laissé longtemps dans un état de dépendance des hommes.

Cette pièce s’intéresse aussi au rapport entre les âges, la naissance de l’amour. Mais aussi le conscient et l’inconscient notamment cher Arnolphe et Agnès.

Elle montre la victoire de l’apprentissage sur la théorie.

La pièce pose des problèmes plus techniques : sa construction (la manière dont les actes s’enchainent…), ses nombreux emprunts, le caractère d’invraisemblance dont elle est accusé ( du dénouement notamment…) le caractère obscène (le mot est développé à cette époque avec la pièce).

Le théâtre au XVII

Statut ambigue tandis qu’il attire de plus en plus de monde.

I : Après la Moyen-âge et le mystère et la farce, la renaissance qui est siècle de poésie ; le XVII se présente comme celui du théâtre. Le genre se répand dans toute l’Europe.

En Angleterre se développe le théâtre Elisabéthain et en France celui de Corneille. On trouve l’influence du théâtre de la foire (centre commercial éphémère) c’est un lieu d’échange commerciaux et culturel, c’est ici que se développe le théâtre  car il y a beaucoup de foule.

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