Synthèse sur la publicité

SYNTHESE : La publicité

La publicité envahie nos champs de vision, que cela soit à l’intérieur comme à l’extérieur. Aujourd’hui, nous la voyons partout : a la télévision, sur les ordinateurs, par texto, dans nos boites aux lettres, dans le métro, dans les arrêts de bus, sur les façades des magasins et à bien d’autre endroit encore. Comme nous pourrons le voir dans le dossier consacré à la publicité, elle nous montre toujours un monde idéal, avec différentes stratégies, mais on peut se demander si ces méthodes permettent bien d’embellir la vie, ou au contraire si elles s’éloignent de la démocratie et sont même immorale. On pourra se demander, quelles sont les méthodes utilisées par la publicité ? C’est ce que l’on verra à travers ces documents. L’écrivain, conférencier et journaliste français Jean-Claude Guillebaud décrit la publicité comme une monde féerique avec une réelle falsification de la réalité dans son article La féerie publicitaire publié dans Tele CinéObs en septembre 2004. L’écrivain et critique littéraire partage plus ou moins les idées dans son romain 99francs édité en 2000. Par ailleurs, dans Le Publicitor, Jacques Lendrevie et Bernard Brochand font part de leur point de vue : le consommateur connait la réalité mais accepte qu’on la lui dissimule.

Ces trois documents apportent chacun à leur manières un point de vue sur la publicité.

Elle euphorise et optimise la réalité

Jean-Claude Guillebaud déclare que nous sommes tous conscient même si nous en faisons abstraction que la publicité maquille la réalité, il en vient à affirmer que les consommateurs finissent par se faire manipuler car même s’ils savent que la publicité idéalise tout, ils en viennent à eux-mêmes croire à ce monde idéal et féerique qu’on leur vend. Par cette idée, il rejoint donc le point de vue de Frédéric Beugbeder qui lui, va même plus loin en comparant l’achat à une drogue. Selon cet écrivain et critique littéraire, l’achat stimulerait l’envie d’acheter encore ces produits qui nous sont vendus comme révolutionnaire alors qu’en faite ils n’ont rien d’extraordinaire, si ce n’est une pub formidable. En revanche, Jacques Lendrevie et Bernard Brochand, eux, défendent l’idée que les consommateurs acceptent d’être duper. Ils en viennent même à affirmer que se sont les consommateurs qui demandent qu’on leur maquille la réalité afin qu’elle soit embellie.

En somme, ces trois documents montrent des avis partagés sur la publicité.

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