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Synthèse de document sur la société et les criteres de beauté

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Par   •  11 Juin 2020  •  Analyse sectorielle  •  1 522 Mots (7 Pages)  •  1 632 Vues

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Synthèse de document

      Dans un monde où les critères de beauté et la mode de la perfection sont de plus en plus de rigueurs, nous avons tous été sujet de près ou de loin a ces tendances soit en y adhérant ou en les rejetant. Partout nous sommes exposés aux standards de beauté ou modèle presque unique ou ressemblant de ce que serait la beauté dans la société, nous y contraignant parfois inconsciemment à y convenir.

On peut donc se demander dans quelles mesures le modèle de beauté et de perfection touche-t-elle notre société ? et jusqu’ou ces standards peuvent nous affecter ?

Nous commencerons d’abord par examiner ce phénomène de tendance, qui elle touche dans la société, quelle société et sur quelle idéologie.

Nous continuerons en nous intéressant aux solutions qu’apporterait le fait de convenir a ces modèles. Puis nous finirons en évoquant les conséquences que ces critères et recours ont sur les personnes de la société.

      Les standards de beauté et la recherche de la perfection physique ne sont pas communs qu’a la société occidentale. En effet d’après le document 3 qui est un extrait d’un article tiré du journal Le monde s’intitulant « Sociologue et nutritionnistes s’inquiètent de la dictature de la minceur », partout dans le monde des critères de beauté très souvent féminins sont imposés à la société au risque d’être moins bien vu ou même rejeté si l’on n’y convient pas. Dans ce document nous sont donné en exemple les pieds bandés en Chine qui consiste à faire paraitre et devenir le pied très petit en taille ce qui dans leur société été un attrait extrêmement important pour les femmes, la déformation des lèvres en Afrique ou l’engraissement qui consiste à gaver les femmes car c’est un signe pour eux de richesse et de beauté. Chaque continent et société est touché par un modèle de beauté parfois même incompris en dehors de la société en elle-même, consistant à faire entrer les femmes dans des standards propres a chaque société. La nôtre, la société dites occidentale en est durement touché aussi, d’après le document 1 un extrait d’article de Mona Chollet « Refaire le monde à coups de bistouri » publié sur Le Monde Diplomatique en mars 2011, plus de trois quarts des personnes ayant recours a des actes modifiant le physique sont des femmes blanches. Le phénomène de modèle de beauté a adopté pour plaire ou être bien vu se fait donc ressentir dans le monde entier a des échelles et normes différentes, mais le principe d’adapter des personnes au départ avec des traits différents a un seul modèle presque unique de beauté est le même.

Depuis longtemps réservés à des classes hautes au sein d’une même société, les critères de beauté étaient un signe de supériorité et même de richesse. Aujourd’hui, les adeptes aux recours de modifications physiques et actes chirurgicaux esthétiques dans notre société sont de tout types. L’accès dit à la beauté est pour tous, même pour les moins riches. C’est ce que nous montre le document 1, il nous est indiqué que 85% des actes esthétiques étaient financés par des personnes ayant contracté un prêt afin de pouvoir en bénéficier. Cela montre qu’il n’y a maintenant plus seulement les personnes pouvant se permettre financièrement ces actes, mais même ceux avec moins de revenus. C’est ce que confirme le document 2 un article rédigé par Jean Michel Normand, « la dictature du sourire éclatant » apparu sur Le monde le 15 janvier 2003, des actes de plus en plus courant pour la dentition sont effectué mais non pas un but médical mais plutôt esthétique, en effet énormément de personnes d’après l’article et le praticien Daniel Banoun demande à avoir recours à un blanchiment dentaire par exemple à plus de 800euros et payé à leur frais car non indispensable.

Ces éléments sur le phénomène de modèle de perfection révèlent un problème plus profond que l’amélioration d’une image extérieure, mais un réel besoin d’appartenir a un moulage pré-défini par une société aux mœurs souvent changeantes. Il n’est plus question de petites améliorations anodines comme le conseille le document 4 un extrait de propos recueilli de Michela Marzano publié sur Philosophe Magazine en juin 2010, en changeant son style vestimentaire ou avec le maquillage qui sont des choses adaptables et réversibles. Il est aujourd’hui très courant d’avoir recours à des actes lourds nécessitant aucun besoin indispensable. Ces phénomènes résultent surement d’un problème de non acceptation de soi et de ses traits s’ils ne correspondent pas a ceux qu’on peut retrouver afficher partout dans la vie de tous les jours. Il est question de standardisation de l’apparence.

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