Synthese Sur Le Reve

Synthèse

Le mot « utopie » est un néologisme forgé par Thomas More au 16ème siècle qui se définit par la représentation d’une réalité idéale et sans défaut. Nous allons étudier quatre documents au sein de ce corpus, Les quatre Evangiles d’Emile Zola écrit en 1901. Le deuxième est un extrait d’Olivier Jonas Rêver la ville... Utopies urbaines : de la cité idéale à la ville numérique écrit en 2003. Le troisième est une interview pour le site Science et Avenir.com, « Brasilia, 50 ans après : une utopie urbaine esquintée mais toujours vivante » avec Dominique Couret. Le dernier document est une affiche de Guillaume Lebrigre qui s’intitule « la ville fertile ». Avec ce corpus nous pouvons nous demander s’il est possible de rêver d’une utopie. Pour ce faire, nous allons voir dans une première partie la signification de l’utopie puis dans une seconde partie la complexité de la mise en place d’une utopie.

Nous allons voir dans cette partie les visions de l’utopisme des auteurs. A travers ces documents, les auteurs nous montrent la vision d’une société idéale.

Une société idéale se définit par un bonheur de celui-ci. C’est que nous montre Emile Zola. Grâce à la technologie même les plus pauvres peuvent recevoir l’électricité, le chauffage. Dans son texte, Zola nous parle d’une « cité du Bonheur » ou tous est en harmonie. La société ne connait pas de problème tel que le vol, le crime et la cupidité. Il n’y a qu’une seule religion, c’est celle de la vie et de l’humanité. Le document 3 nous montre aussi cette idée d’égalité entre riche et pauvres. En effet, Dominique Couret affirme que le plan pilote de la ville de Brasilia avait pour but d’unifier la population qui y vivra. Pour qu’il y est ce bonheur D.Couret nous parle d’un modèle à appliquer ; celle d’une intégration sociale élevé. Cette vision utopiste nous amène à la création d’un « nouvel homme urbain ». C’est-à-dire que toutes les classes sociales vivent tous ensemble. L’affiche de Guillaume Lebrigre reprend aussi la notion de bonheur Olivier Jonas explique aussi que le mythe de l’Atlantide avait une civilisation extraordinaire avancé. A la création de Brasilia dans les années 1960, le projet d’habiter dans une nouvelle ville intéressa beaucoup de personne. La vision utopiste de Brasilia donnait de l’espoir à la personne en leur donnant du travail. Si l’on en croit l’auteur, les habitants restent dévoués au projet, au patrimoine de cette société moderne. D.Couret met en évidence que les agriculteurs qui n’avait pas de terre sont désormais payés à la journée.

On peut noter que les lieux proposés dans les utopies sont idyllique. Ces lieux sont imaginés pour crée « la cité du Bonheur » comme dans Les quatre évangiles. En effet Zola fait apparaitre dans son roman, une cité dont les toits sont colorés, les arbres se développe et s’étale sur la Cité. Brasilia inscrit aussi dans son projet, son « Plano Piloto » une ville belle et verdoyante. Ce projet a été appuyé par son urbaniste Luis Costa et d’architecte comme Oscar Niemeyer. L’utopie de Brasilia interdisait le développement d’usines aux alentour qui polluerait la ville. Les eaux de la ville sont alimentées par un lac crée pour l’occasion. La ville doit avoir des espaces verts. La « ville fertile » de Guillaume Lebigre prolonge le concept. La ville qu’il nous dévoile mélange les gratte-ciel des maisons avec les parcs. Les montagnes, arbres ainsi que les lacs vivent en harmonie. La nature est préservée et il fait beau. Le document 2, nous présente d’autres lieux fantastiques. Olivier Jonas explique les civilisations aztèque, maya et inca avaient des lieux idéale avec les villes Tenochtitlan et Cuzco.

Les significations de l’utopie peuvent se résumé avec la présence de lieux idyllique, qui ont des habitant parfait. La société idéale se caractérise par une société qui véhicule la paix et la

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