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Synthèse Sure Le rêve

Mémoire : Synthèse Sure Le rêve. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  10 Mars 2014  •  812 Mots (4 Pages)  •  1 569 Vues

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« Un rêve est la moitié d’une réalité », de Joseph Joubert. Le rêve collectif serait-il perçu comme étant un outil afin de faire face à l’oppression de a société ? Quelles ‘en seraient ses raisons mais aussi ses dérives ? C’est la question que se sont posé les auteurs de ce corpus. Ils ont d’abord réfléchis le rêve collectif comme étant une échappatoire de la société puis dans un second temps ils en ont vu des limites à ce rêve collectif.

En quoi le rêve collectif peut être considéré d’échappatoire en vu de la société ?

Tout d’abord, pour les auteurs cela permet d’avoir une amélioration de son quotidien.

Pour l’auteur Jean Cayrol, les rêves collectifs permettant de survivre au quotidien de douleur mais aussi d’embellir son quotidien en mélangeant ses rêves à la réalité afin que le quotidien soit moins douloureux à vivre. Ignacio Ramonet appui cette idée, car selon lui le rêve collectif permettrait à l’homme de croire mais aussi de contribuer à un changement de l’humanité. Ce qui peut être un pouvoir si chaque personne se sensibilisera à sa cause, selon lui.

Alors que pour Fatou Diome, il utilise la comparaison des pas dans la vie pour mettre en en relation la quête du bonheur qui est commune à tous selon lui mais cependant, chacun avance dans sa vie mais sans jamais avoir la même direction avec les uns et autres.

Reinhard Schäfer renforce cette idée, en mettant en scène des individus réunis de toutes sortes et ayant pour but commun d’avancer dans la même direction.

Enfin le rêve collectif permet de véhiculé la fonction protectrice et fédératrice :

Car selon Jean Cayrol, ses rêves sont une échappatoire que personne ne peut lui enlever, de plus chacun partage ses rêves ce qui lui permet de garder une part d’humanité, de sentiment et d’émotion en lui grâce à ses rêves.

C’est l’idée même qu’appui Ignacio Ramonet, car pour lui résister à l’oppression de la société ne peut pas se faire seul, c’est pour cela qu’a travers sont texte il redéfinit le mot « résister » pour faire appel à chaque individu pour qu’ils s’unissent.

Ici pour ces deux auteurs le rêve collectif est utilisé pour lutter et résister.

Alors que pour l’auteur Fatou Diome, la fonction fédératrice est vue plus comme un but commun à chacun définit inconsciemment mais qui les mènent à une nouvelle société uniformisé. Reinhard Schäfer va dans cette idée en montrant qu’ils ont le même but commun mais en ressorte uniformisé.

Les auteurs ont montré un besoin pour eux et pour la société d’avoir un rêve commun cependant, y aurait il des limites à ce rêve, pourrait il créer un danger ?

D’emblé, pour les auteurs il y a des conséquences néfastes du rêve collectif.

Pour Jean Cayrol, les rêves deviennent inoubliables, il en garde un souvenir de sa vie passé, des cicatrices ineffaçables, une douleur qui sera toujours présente. Son rêve était une aide dans les camps, mais maintenant il est perçu comme cauchemar rappelant ces horreurs passé.

Fatou Diome va dans le même sens en exprimant une douleur mais qui n’est pas dans le même registre. Pour

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