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Sur quels procédés caractéristiques de la comédie est fondée la relation entre Horace et Arnolphe ? Quel parti en tire Molière ?

Étude de cas : Sur quels procédés caractéristiques de la comédie est fondée la relation entre Horace et Arnolphe ? Quel parti en tire Molière ?. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  26 Avril 2019  •  Étude de cas  •  375 Mots (2 Pages)  •  461 Vues

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Question : Sur quel procédé caractéristiques de la comédie est fondée la relation entre Horace et Arnolphe ? Quel parti en tire Molière ?

Nous savons que l’école des femmes est une comédie classique, nous pouvons alors en déduire que nous allons y retrouver plusieurs type de comique comme le comique de geste, de langage ou encore de situation. Nous allons alors aborder sur quel procédé caractéristique de la comédie est fondée la relation entre Arnolphe et Horace puis voir quel parti en tire Molière.

Un des principaux type de comique est le quiproquo que Molière manie avec facilité et que l’on retrouve dans plusieurs de ses pièces comme dans les fourberies de Scapin ou encore L’école de femmes. Tout d’abord, un quiproquo est un malentendu qui créer un désordre entre deux personnes, ici entre Horace et Arnolphe où Horace explique son stratagème à Arnolphe pour déjouer les plans de Monsieur de la souche qui empêche les deux amants de s’aimer, cependant ce que Horace ne sait pas, c’est que Monsieur de la Souche est Arnolphe lui-même. La pièce sera centrée sur ce même quiproquo qui sera l’intrigue et le centre moteur de la pièce. Par exemple nous avons à l’acte 1 scène 4, le début du quiproquo lorsque Arnolphe découvre que Horace est l’amant de Agnès.

D’après ce que nous savons de Arnolphe, homme jaloux, menteur, manipulateur et hypocrite, Molière en tire vite une sorte de morale, nous montrant que mentir pour arriver à ses fins est inutile car le mensonge ne fera que empirer la situation ou du moins ne la fera pas avancer. Nous pouvons également parler de la jalousie maladive d’Arnolphe qui le mène à sa perte depuis le début de la pièce, cette peur du cocuage le mène à envier le pouvoir que l’homme peut avoir sur la femme. Lorsque il parle avec Chrysalde, nous nous rendons vite compte que ses idées sont très extrèmes et poussé. Molière veut alors faire passer une morale par le rire pour apaiser l’accusation, ici la jalousie maladive de certains hommes dans la société et la mysoginie très présente à cette époque, , nous concluerons sur une seule phrase : (« castigare ridendo mores », corriger les mœurs par le rire).

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