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Sociologie du cinéma

Étude de cas : Sociologie du cinéma. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  12 Novembre 2020  •  Étude de cas  •  1 650 Mots (7 Pages)  •  401 Vues

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                                        Exposé sociologie

        Les  groupes sociaux ne subissent pas passivement les médias de masse est sont capable de prendre une autonomie relative face à la prsse à la radio et aux cinéma selon les Layne Fund Studies).Le cinéma aurait pour but de crér des besoins artificiels chez l'individu le détournant de ses conditions réelle..Ainsi l'école de Francfort met ici en avant comment les idées de justice de beauté,d'égalité se sont dissoutes dans des logiques de rationalité et d'efficacité  des sociétés modernes ainsi préférant contribuer d'une façon bénéfiqe à l'économie du pays grâce aux retombées, les gens ne vont donc pas au cinéma seulement pour se distraire mais pour chercher à se rassurer devant des films mettant la confusion entre monde réel t le monde représenté mettant en opposition la vision pronant laquelle le cinéma permet une démocratisation de la culture.

        Ces classes sociales ciblés par les œuvres dites de masses sont selon Richard Hoggart dotés de leur propre logique culturelle, les classes dominées affrontent les productions de l'industrie culturelle et leurs effets, ces classes dites populaires cherchent au travers de ces films à sortir d'une condition ou il faut constamment lutter pour garder la tête au dessus de l'eau peremettant de donner une profondeur à l'idée simpliste personifiant le cinéma comme étant une nourriture vulgaire destinée aux classes populaires avides de fictions.

        Qu'est ce que la « masse » décrite pour qualifer la catégorie de certaines œuvres, pour le socioloque Raymond Williams, il s'agit de ce que l'on ne connaît pas , une masse ne va pas nécessairement se soumettre à une culture de masse, et posent des question « comment d'ailleurs peut on décréter qu'un spectacle  est destiné à une masse dénué d'esprit critique  plutôt qu'à un public  authentique? Est ce le nombre de spectateurs qui voient un film qui permet de statuer  sur le statut de ce dernier et de son public ? si c'est le cas à partir de combien de spectateus un film devient il dévolu à une masse privée de libre-arbitre ? Tant de questions trouvant aujourd'hui encore en France une actualité,  nous stigmatisons encore aujourd'hui les films en fonctions de leur circuit de diffusion opposant de façon caricaturale film a succès et film d'art et d'essai, il est essentiel  selon Hoggart de faire la part des choses ainsi souvent la fréquentation d'un cinéma est intimement liée à l'histoire du cinéma lui même, le cinéma n'a pas été  pensé comme devant faire l'objet d'une démocratisation de sa pratique qui partirait des sphères savantes pour se diffuser à l'ensemble de la population, le cinéma a voulu plaire au peuple jusqu'à parfois se faire populiste.

        Il convient de se souvenir du cinéma dit populaire, voire populiste, nous dit l’auteur. Souvent décrié, ce cinéma de la représentation du réel est celui qui a vu le nombre de spectateurs s’accroître de manière considérable: «La signification de la réalité sociale que recouvre la fréquentation du «cinéma du sam’di soir» est inscrite dans un rassemblement populaire sans précédent dans l’histoire des pratiques culturelles» (p. 18). Et pourtant, nous apprenons que, par la suite, c’est une pratique du cinéma qui s’installe et non celle des films. En d’autres termes, c’est l’expérience sociale éprouvée à travers le cinéma qui est prisée et non ses contenus.

        L'idée que le monde du cinéma se fait du grand public est principalement nourrie par les succès commerciaux, car il suffit qu'un film fasse succès pour qu'une suite soit dans les cartons avec une thématique similaire, les mêmes acteurs souvent dans le même rôle .C'est cette impression du « toujours pareil » qui va conduire les critiques et historiens du cinéma à reléguer ce cinéma comme étant sans intérêt  et bon qu'à occuper les soirées du « sam'di soir ».

        Les films représentés par de nombreux acteurs phares de l'époque, Jean Gabin, Maurice Chevalier, Bourvil incarnaient souvent des  personnages issus des classes populaires doté de ce bon sens , simple et humain, propre aux gens du peuples, les films mettaient souvent sous les projecteurs des histoires d'amour ou le protagoniste principal n'était pas aisé et tombait amoureuse d'une femme n'appartenant pas à la même classe sociale, il est bloqué par les parents de la jeune femme voulant interrompre cette idylle d fait de la différence de leur rang social trop éloigné. Mais l'amour de ces deux protagoniste vaincra les préjugés et se marieront à la fin tel que dans l'impossible Monsieur pipelet et bien d'autre films. Faisant ainsi passé un message , quelque soit notre classe sociale nous partageons les mêmes problème et qu'il suffit de peu pour s'en rendre compte, d'amour dans le cas présenté ci-dessus.

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