Rousseau, commentaire

        Dans la première partie du texte, Rousseau dénonce le commerce du savoir, autrement dit le fait d'apprendre et d'obtenir des connaissances juste pour les transmettre aux autres sans les utiliser. A la ligne 1, Rousseau utilise le terme « étalage » pour parler du commerce , il blême donc le savoir commercial, c'est-à-dire le fait d'exposer son savoir pour épater la gallerie et de ne pas se servir des ses connaissances pour soi-même : « savoir   pour les autres plus que pour nous », cette citation illustre bien la pensée de Rousseau que l'acquisition du savoir est pour soi-même et non pour les autres.Ensuite il met en parrallèle le savoir avec « une monnaie », c'est-à-dire que le savoir est une monnaie précieuse et que comme la monnaie, le savoir s'ajoute et s'échange. Autrement, que l'on peut toujours acquérir plus de savoir mais que l'on peut aussi l'échanger avec autrui. Rousseau dit également que « cependant n'ajoute rien au bien-être autant qu'on la communique », cela signifie que la vie ne vie se résume pas à faire du commerce et à épater les autres mais que le savoir à communiquer. Il critique les savants commerciaux, qui se cultivent dans le seul but de pouvoir ensuite étaler leur savoir et flater leur égo, sans même s'en servir eux-même. La phrase « Otez à nos savants le plaisir de se faire écouter, le savoir ne sera rien pour eux », cela dénonce parfaitement que le coté narcissique des savants, qui se servent du savoir juste pour être écouter et donc mit en avant. Ces savants cherchent leur utlité dns les yeux des autres et donc leur existance dans la société : « ils ne veulent être sage quand dans les yeux d'autrui », ils ne sont donc pas sages en réalité puisqu'ils cherchent leur utilité à travers des autres mais le fait que ce soit eux qui exprime le savoir, donne l'impression qu'ils le sont.

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