Romantisme et réalisme

Le romantisme et le réalisme se situent entre le début du XVIIe siècle et la fin du XIXe siècle, deux courants littéraires sont opposés l’un à l’autre. Le premier est caractérisé par des privilèges envers les sentiments à la raison et parcourt les thèmes comme le fantastique, le rêve et la mort alors que le deuxième est un courant littéraire terre-à-terre qui cherche à décrire le monde et les hommes comme ils sont de manière, c’est-à-dire de manière objective et réelle. Guy de Maupassant un écrivain célèbre qui a marqué le XIXe siècle. Son écriture le situe dans le mouvement réaliste et naturaliste. Parmi ces écritures, on trouve une nouvelle qui se nomme « La Martine » où l’auteur met en scène tout le monde dans un monde antiromantique .tout d’abord, avec le personnage principal Benoist qui serait attiré plus par le physique que les sentiments. Ensuite, par plusieurs retours à la réalité à la fin.

L’auteur Guy de Maupassant nous transporte dans un monde antiromantique dans son manuscrit « La Martine ». Au début de l’histoire, un personnage au nom de Benoist, qui est le personnage principal, est attiré par une villageoise, plus précisément par son physique plutôt que par l’amour que celle-ci pourrait plus offrir. De plus, il sait seulement contenter de son dos pour tomber en amour avec elle : « Lui, Benoist, ne voyait que son dos; mais il connaissait bien le visage qu’elle avait, sans qu’il ne l’eût cependant jamais remarqué plus que ça » cet extrait qui se situe à la page7 démontre que notre personnage principal éprouve des sentiments envers Martine, malgré qu’il avait seulement vu son dos. Ce qui démontre qu’il y a plutôt une attirance physique au lieu du véritable l’amour. Contrairement à Vladimir dans le livre « Premier amour » de Tourgueniev, ce personnage démontre beaucoup plus d’admiration envers la belle aimée et il démontre l’importance de ne pas être bouche bée en croisant le premier regard d’une jeune demoiselle. Il pose des questions auxquelles il tient déjà des réponses et il fait cela à plusieurs reprises tel : « pour une belle, elle est belle ». Benoit utilise le mot « belle » qui signifie la beauté. Avec cette citation, l’auteur vise à nous montrer que Benoist est attiré uniquement par le physique de Martine.

Après plusieurs rencontres, Benoist se retrouve à être la cible de ses propres impulsions. Ses impulsions se partagent entre le sentiment de rage, d’amour et de chair qui le gagne : « des frémissements d’impuissance… » Le changement exprime l’effet incompris par Benoist par rapport à ses propres impulsions du côté physique que celui-ci occupe et le manque de romantisme.

En deuxième lieu, « La Martine » se présente dans un cadre peu romantique, car c’est relié aux nombreux retours à la réalité qui se produisent à la fin de l’histoire. Martine, qui est un des personnages principaux, a une caractéristique assez particulière, le fait qu’elle soit d’être terre à terre. Par contre, celle-ci se laisse aller par les paroles de Benoit. L’auteur nous démontre le réalisme qui se trouve chez Martine par rapport aux avances de Benoit, donc cela prouve le manque de romantisme au sein de cette nouvelle : elle répondit, comme en se moquant de lui : « Qu’est-ce qui ne peut plus durer Benoist? ». Elle prononça très bas : « Qu’est-ce

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