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Resume – Zadig, Voltaire (1748)

Fiche de lecture : Resume – Zadig, Voltaire (1748). Recherche parmi 297 000+ dissertations

Par   •  15 Août 2013  •  Fiche de lecture  •  2 619 Mots (11 Pages)  •  1 099 Vues

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RESUME – ZADIG, Voltaire (1748)

CHAPITRE I, Le borgne.

Dans un premier temps, l’auteur dresse le portrait de Zadig. Il s’agissait d’un jeune Babylonien cultivé et riche. Il aimait et été aimé de la belle et jeune Sémire. Ils devaient se marier. Lors d’une de leur promenade, des gardes sous la direction d’Orcan, voulurent enlever Sémire. Ce jeune Orcan était un homme de haut rang qui, par orgueil, se croyait plus à même de se marier avec Sémire. Elle fut blessée dans l’attaque mais remercia Zadig de l’avoir sauvée. Ce dernier, qui avait été blessé à l’oeil, contracta un abcès. Le médecin Hermès, expliqua qu’il ne pouvait le guérir et qu’il deviendrait borgne. Mais peu de temps après, Zadig retrouva l’usage de son oeil et voulut l’annoncer à Sémire. Cependant, celle-ci ayant en horreur les borgnes, s’était mariée, dans la nuit, avec Orcan. Attristé et indigné, Zadig choisit de se marier avec une autre : Azora. Ils vécurent alors dans la douceur, malgré le fait que Zadig ait découvert chez elle des côtés qu’il n’appréciait guère.

CHAPITRE II, Le nez.

Azora qui rentrait d’une promenade était horripilée car elle était allée rendre visite à Cosrou qui veillait le corps de son mari près d’une rivière. Cette jeune veuve avait promis de rester à cet endroit tant que la rivière y coulerait. Cependant, Azora l’avait trouvé en train de détourner l’eau, ce qui l’avait indignée. Face à tant d’hostilités, Zadig décida de faire croire à Azora qu’il était mort, après avoir mis dans la confidence son ami Cador. Azora apprenant la fausse nouvelle, fut attristée, Cador la consola. Et au cours du dîner, celui-ci fut pris de violents maux de ventre. Il expliqua alors que le seul remède à sa connaissance était de se frotter avec le nez d’un homme mort la veille. Après quelques temps d’hésitations, Azora décida d’aller couper un bout du nez de Zadig. Lorsqu’elle s’approcha de son cadavre, Zadig se releva. Il lui indiqua que ce qu’elle s’apprêtait à faire n’était pas mieux que ce qu’avait fait Cosrou.

CHAPITRE III, Le chien et le cheval.

Peu de temps après, Zadig se sépara d’Azora et partit à la campagne pour étudier la faune et la flore. Un jour qu’il se promenait, il fut interrompu par un eunuque qui lui demanda s’il avait vu le chien de la reine. Zadig décrivit l’animal dans les moindres détails, mais affirma qu’il ne l’avait pas vu. Au même instant, le grand veneur du roi lui demanda s’il avait vu le cheval royal. A nouveau, Zadig décrivit l’animal, mais affirma qu’il ne l’avait pas vu. Croyants qu’il avait volé ces animaux, il fut arrêté et jugé. Lorsque les bêtes furent retrouvées, Zadig expliqua à la cour qu’il avait pu les décrire parfaitement, grâce aux indices qu’ils avaient laissés durant leur fuite. On s’étonna de tant de science et on lui rendit son amende. Il se promit de ne plus jamais dire ce qu’il avait déduit d’indices. Mais un jour où il se trouvait à sa fenêtre, il vit passer un évadé. Il affirma donc qu’il n’avait rien vu. Mais on prouva qu’il mentait et il dut payer une amende. Il se rendit compte que la vie était bien complexe.

CHAPITRE IV, L’envieux.

Zadig, qui avait une très belle demeure avait décidé d’ouvrir sa bibliothèque aux savants, le matin, et d’inviter des convives le soir. Lors d’une discussion à la bibliothèque, on l’accusa - auprès de Yébor - d’aller contre les principes de Zoroastre (l’interdiction de manger du griffon). Cador, fit en sorte de régler la situation pour ne pas que Zadig soit puni. Ce dernier, mécontent d’être toujours accusé à tort, ferma sa bibliothèque. Il conserva ses repas et ses cérémonies étaient très prisées et attiraient des gens importants. Mais ceci attira aussi les convoitises d’un homme : Arimaze (L’Envieux). Celui-ci voulut mettre un terme aux soirées de Zadig, car il n’acceptait pas qu’il soit si apprécié. Ainsi, il récupéra, dans un buisson, des vers qu’avait écrits Zadig sur le roi. Mais comme il pleuvait, il ne resta que la moitié de ses écrits, qui devenaient outrageants pour le roi. Arimaze les utilisa contre Zadig. Ce dernier fut donc emprisonné et ses biens confisqués. Plus tard, un des oiseaux du roi, rapporta à celui-ci la suite des vers de Zadig. Ceux-ci accolés aux autres, donnaient un éloge du roi. Zadig fut alors libéré et on lui rendit ses biens. Par cet acte, il devint un proche conseiller du roi.

CHAPITRE V, Les généreux.

Il y avait à Babylone, chaque année, une cérémonie qui récompensait les hommes les plus généreux. Le prix décerné était une coupe d’or remplie de pierres précieuses. Pour choisir l’Homme le plus généreux, le roi, et le premier satrape, jugeaient les faits. Trois histoires retinrent leur attention : la générosité d’un juge, la donation d’une femme par l’homme qui l’aimait et la libération d’une mère au profit d’une femme. Le roi remit à chacun vingt mille pièces d’or et évoqua la générosité de Zadig. En effet, ce dernier avait dit, au roi, du bien d’un homme que celui-ci détestait. Il remit donc la coupe à Zadig. Tout finissait bien, Zadig se croyait enfin heureux, mais ce sentiment fut de courte durée.

CHAPITRE VI, Le ministre.

Le roi prit Zadig pour ministre. Zadig tentait d’être le plus juste possible dans ses décisions et d’appliquer au plus près la loi. Ainsi, en faisant croire à deux frères que leur père était vivant, il put juger celui qui méritait l’héritage que le père avait laissé avec pour consigne : à donner à celui qui l’aimait le plus. A la suite de cette affaire, il constata qu’il recevait une multitude de plaintes contre un vizir nommé Irax. On se plaignait de son orgueil et de son mutisme. Zadig eu l’idée d’envoyer des personnes chez ce vizir, qui le complimenteraient jours et nuits. Très vite, Irax, fut incommodé de tant de compliments et jura qu’il serait plus avenant désormais, si on rappelait ces hommes.

CHAPITRE VII, Les disputes et les audiences.

Zadig était très apprécié en tant que ministre. Il trouva même une façon de répondre aux grands débats de son temps : associer les deux thèses qui s’affrontaient. Ainsi, il initia l’entrée au temple de Mithra du pied gauche et du pied droit et la prière en direction de l’Est, comme en direction de l’ouest, au choix de chacun. Il cherchait aussi à embellir la

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