Prologue Gargantua
Recherche de Documents : Prologue Gargantua. Recherche parmi 298 000+ dissertationsPar cleachou • 16 Janvier 2014 • 304 Mots (2 Pages) • 1 130 Vues
Prologue de Gargantua
Introduction :
Rabelais 1484-1553. Auteur humaniste. Gargantua, 2e roman 1534. Démêlés avec Sorbonne dès Pentagruel 1532, d'où nécessité de prendre précautions par rapport à la censure.
Prologue : texte argumentatif dans lequel R présente les véritables enjeux de son peuvre et cherche à éviter éventuels malentendus à son propos.
Singularité du texte : ses aspects contradictoires, à la fois grotesques et graves. réflexion sur son texte et sur la lecture en général.
Question possible :
Quelle conception paradoxale de la lecture R développe-t-il ici ?
Problématique :
Paradoxe : combinaison de deux idées à priori cntradictoires. Quels sens contradictoires trouve-t-on dans le G, comment R résout-il cette contradiction ? Quels sont les enjeux véritables de la lecture du G ?
Plan possible répondant à la question :
I- Un texte contradictoire, qui entraîne des lectures contradictoires
1- opposition être/paraître
2- deux niveaux de signification
3- nécessité d'un travail d'interprétation pour passer de l'un à l'autre
II- La clé de la lecure : une métaphore filée, qui combine les deux sens du texte au lieu de les opposer
1- première image de la bouteille
2- deuxième image : l'os à moelle
III- Les enjeux de cette double lecture : la religion, la politique et l'économie
1- le sens caché
2- les véritables enjeux
3- mais une formulation comique
Conclusion :
- bilan : texte paradoxale, qui suscite un double niveau de lecture, une lecture "littérale" qui s'attache à l'aspect grotesque et trivial du texte et qui, en même temps, est indissociable, parce qu'elle la rend possible, d'une lecture plus sérieuse, "transcendante" dans laquelle R traite des sujets brûlants de son temps : religion et politique, fût-ce au péril de sa vie et de sa liberté.
- ouverture : liberté de ton d'un artiste engagé maison son engagement ne tarit pas veine comique et poétique. Le rire au service de la réflexion et leur jubilation.
cf : ironie voltairienne dans Candide qui sert la philosophie des Lumières.
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