Pierre De Ronsard " Hymne De La Mort "

Hymne de la Mort

- un hymne – la louange, la glorification des actions d’une personne

- tout a été dit par les Anciens qui l’ont fait de la meilleure façon  c’est un topo lié à la nostalgie, un sujet mélancolique, il s’agit d’un épuisement poétique

- le poète veut trouver un nouveau sujet qui sera à la hauteur ou même meilleur que celui des Anciens

- c’est un poème rempli de citations des Anciens qui sont pour lui comme un modèle

- il regroupe les topoï les plus connus

- il y a deux sieges des Muses : l’inspiration poétique et la mort

- source sacrée  l’inspiration divine

- Ronsard est très sensible à la nature

- la nature  image métaphorique de la poésie

- les oiseaux qui viennent brouiller la source = le mal

- le mal qui a une influence sur la poésie

- image réelle  image métaphorique

- une bête noire = la mort

- le vers qui mange le corps = c’est très concret = destruction

- la volonté d’argumenter : la mort est une très bonne chose, traditions chrétienne et ancienne – il combine les deux  la définition définitive et le comportement correct devant la mort est celui du christianisme : Christ a fait que la mort a perdu sa valeur

- Prométhée a été trahi par les humains et leur récompense était la mort

- la mort = l’égalité des gens : « même les rois » et les personnages mythologiques ou historiques qui sont morts dans la gloire (ubi sunt  le thème de l’éphémère, de la disparition des choses, de la vanité du monde) – référence à François Villon

- la peur des hommes que la mort peut arriver à n’importe quel moment

- la mer = la vie

- l’âme appartient à un autre monde, la mort est un retour – évocation de tous les malheurs possibles

- la naissance = une mort prolongée

- la mort est la seule chose qui est stable

- Venus qui répare les pertes causées par la mort = il faut faire de la place pour les nouvelles générations

- la terre = la mère (qui donne la vie)

- la mort = la mer liée avec la souffrance et la peine

- tout change, la vie est un changement  rien de nouveau mais tout change, les formes se transformes en quelque chose de nouveau

- la création imitatrice : s’exprimer soi-même à travers les autres, on peut juste modifier le langage = l’architecte ne fait pas les pierres avec lesquelles il construit les bâtiments

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