Méditations Poétique

INTRODUCTION

• Sujet amené :

− Époque : 19e siècle

− Nom de l’auteur : Alphonse de Lamartine

− Titre de l’œuvre/de l’extrait : Extrait des Méditations poétiques, / Le lac

− Date et lieu de publication : Méditations poétique 1820 et le lac 1817/ Lieu de publication est à Paris, France.

− Courant, genre et forme littéraires : Fin du préromantisme début du romantisme/ poésie/poésie lyrique

− Lien avec le contexte : Contexte d’après-guerre napoléonienne (terminer en 1815). La population est très inquiète de son avenir suite à cette guerre.

• Sujet posé : L’extrait parle d’une méditation sur la puissance destructrice du temps.

• Sujet divisé :

― Le temps est prédominant.

― La nature change avec le temps.

― La nostalgie de l’homme.

DÉVELOPPEMENT ARGUMENTATIF

I. Le temps est prédominant.

A. Le temps est glorifié par le personnage principal.

1. Métaphore : «Ô temps! Suspends ton vol suspendez votre cours […]» (v.21-22)

a) Cette métaphore compare le temps avec un être divin. Ici, le personnage demande au temps de s’arrêter lui-même, mais nous savons tous que le temps ne pourra jamais s’arrêter.

2. Pléonasme : «Ce temps qui les donna, ce temps qui les efface […]» (v.43)

a) Le fait qu’il répète «ce temps qui les» illustre qu’il insiste sur le pouvoir de donner et le pouvoir d’effacer du temps.

C.A : En somme, la personne voit le temps comme un être surnaturel qui à le pouvoir sur son passé, son présent et son futur.

B. Le temps est invulnérable et éternel

1. Accumulation : «Éternité, néant, passé […]» (v.45)

a) Cette accumulation met l’accent sur le fait que le temps ne s’arrête jamais, donc qu’il est éternel pour les temps à venir, mais qu’à la fois, qu’il a un vaste passé.

2. Métaphore : « […] le temps n’a point de rive […]» (v.35)

a) Cette figure compare le temps avec une surface d’eau n’ayant aucune rive, donc n’ayant aucune fin. Donc ici, l’auteur illustre le fait que le temps n’a aucune fin.

C.B : Bref, le temps, en plus d’être perçu comme étant surnaturel, il est aussi éternel ce qui lui prouve encore plus sa force et sa puissance.

C.1 : Maintenant que nous avons vu que le temps est prédominant, nous allons pouvoir voir ses effets sur la nature.

II. La nature est le lien entre le temps et l’homme.

A. Le temps représente la nature pour l’homme.

1. Accumulation : «Ô lac ! Rochers muets ! grottes ! forêt obscure !» (v.49)

a) L’auteur insiste sur l’accumulation des mots de nature afin d’illustrer le temps à travers cette même nature, de plus, pour montrer l’emprise du temps sur la nature avec la phrase qui suit l’accumulation.

2.

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