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Melancholia, Victor Hugo

Commentaire de texte : Melancholia, Victor Hugo. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  2 Octobre 2017  •  Commentaire de texte  •  1 258 Mots (6 Pages)  •  672 Vues

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                        Victor Hugo défendais aux enfants dans la plupart de ces œuvres, exemple des contemplations de Victor Hugo, plus précisément en Melancholia  dans poème qui commence avec un « Ou vont » l’enfance est l’une des choses le plus importantes qui est rectifier quelques mots plus tard avec un «  tous ces enfants ». Ce tous les enfants nous fait pensez à un groupe d’enfants, a un groupe qui ne sourit pas et qui n’as donc plus aucune preuve de une jeunesse. Ceci est donc le contraire de ce Victor nous insiste autant «  huit ans », c’est alors que on nous dit que Victor ne voulais pas parler d’enfants qui étais libres dans les champs, si non de tous ces enfants dont l’état physique n’est que un fantôme de ce qu’il devrait être. Les enfants sont pales maigrit, ils souffrant, ils sont triste, à cause de ces hommes qui le forcent à travailler comme des machines. Juste pour que son retour ils ont une petite miette de pain c’est pour cela Victor cherche à libérer toutes ces enfants de cette souffrance, il veut montrer au monde a quel point la vie pour quelques-uns est pathétique, comment des enfants on leurs visages pleins de charbon pendant que d’autres gens de la haute société soient assis mangeant un grand poulet. Il parle alors d’une soumission des enfants vers l’homme. De la soumission des plus faibles face aux plus forts.

 Les enfants sont alors vus comme des victimes impuissantes, comme des objets, quelque chose de pas humain. Quelque chose qui mérite de travailler quinze heures tous les jours sans pose ni aucun arrêt. Ceci est rectifier avec « sous les dents »  « sous » quelque chose ce qui nous fait insister sur cette soumission face aux adultes, comment ils sont juste les chiens de cette fausse humanité. Ou plutôt inhumanité dont les enfants sont traiter comme des prisonnier , enfermer dans un poulailler , ceci nous fait voir à nous les lecteurs l’enfer que ces enfants vivent chaque jour , ils nous fait nous mettre dans leur peau à travers ces hyperboles , ces adverbes  ce champs lexical du travail forcer , du travail éternel , et nous fait voir le monstre que les usines peuvent être et comme cette univers quasi fantastique est au faite que une triste vérité .

                      Victor parle alors de pathétisme que le gens produisent en mettant ces enfants dans des conditions infâmes , immorales dans lequel l’enfant innocent est «  accroupis » injustement face à la personnification qui est cette usine que on pourrais plutôt appeler l’homme ou le monstre que l’homme peut être un homme qui impose une « servitude infâme». Les enfants non pas une parole, ils ne peuvent pas ce exprimer ils sont faibles, mais Victor les comprends, on peut le voir grâce à cette insistance face au travail que ces enfants effectuent, on peut voir son intolérance face à ce monde industriel, a ce monde que parfois adultes créent même sans se rendre compte, ce monde ou l’imagination et la liberté d’expression n’existe plus. L’ambiance du texte devient donc étouffante pour le lecteur, ce texte n’est que une métamorphose de l’homme dans la quel il montre les conséquences dramatiques sur l’état d’esprit de l’enfant, sur la perte d’imagination de celui-ci et comment le travail industriel est destructeur de l’enfant et de ces droits.

                   Mais ce travail inquiète le poète, il ce demande ce qu’il veut l’homme en enlèvent tous droit à l’enfant, si il veut un arme ou quelque chose, pourquoi veut-elle brisé cette jeunesse ? Lui-même il se demande ou cette deshumanisation va-t-il emmener l’homme. Il nomme alors ce travail comme quelque chose de maudit et de indésirable le mot «  maudit » ce répète au moins trois fois dans le poème ce qui nous laisse avec une mauvaise saveur dans la bouche, il affirme aussi son désaccord face à cela on donne parfois son avis «  qu’il soit maudit » il veut que l’homme sois maudit pour cette esclavage honteux, qui ne devrais être fais par dieu même selon notre cher Victor. Il utilise le subjonctif pour réaffirmer cela «  O dieu » il veut que dieu punisse ces hommes honteux, cette machine honteuse.   Il parle à la fin de son poème sur le vrai travail et non pas ce travail monstrueux qui est celui ou les enfants se tuent à travailler. Il parle dur travail qui génère la liberté, le bonheur et la diversion. Il parle alors d’un travail ou les enfants ni s’ont pas présent dans lequel les enfants sont dans ces jardins à courir avec un grand sourire, le travail qui va donner une liberté au jeune. Ce poème nous impose alors deux signification du travail, un  bienfait pour toute l’humanité et un autre ou l’homme deviens un monstre et deviens quelqu’un de odieux qui enlève toute expression et tous droits aux gens les plus faibles, a notre futur. Il nous démontre alors à travers ce texte l’importance qu’il a vers l’enfance, comment il croit que c’est notre demain qui est en jeux  que les enfants est le truc le plus cher à garder, que sa devrais être leurs droit ce que on devrait défendre, leurs droits pour l’éducation et leur droits au loisir. Et comme on va voir de suite avec les misérables,  Victor Hugo croyais énormément dans la jeunesse, il voulait la défendre car il s’avait que un jour celle-ci serais la société.

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