Magnification de la femme aimée en poésie

1.1. Magnification de la femme aimée :

Les poètes montrent la beauté de la femme qu’il aime ou qu’il désire. Il utilise la comparaison avec des phénomènes extraordianaires comme les phénomènes météorologiques (ouragan) ou des objet d’art (statues) pour

parler des qualités de la femme aimée Eluard p213 place tellement haut la femme aimée qu’il imagine des interactions entre les astres et cette femme « les astres devinent »il est en admiration devant le physique de cette femme : « l’éventail de sa bouche le reflet de ses yeux » il pense être le seul a avoir conscience de la beauté extrême de cette femme : « je suis le seul a en parler je suis le seul qui soit cerné », parler de sa beauté, utilisation de la langue comme outil de séduction (il y a un but a atteindre celui de conquérir la femme désirée).pour pierre de Ronsard la vie ne se conçoit qu’a travers l’être aimé ; « si c’est aimer de vivre en vous plus qu’en moi-même .

la poésie donne une musicalité à la langue (rime, cadence, appositions sont utilisées à cette fin), la poésie reste un moyen de dépeindre des émotions violentes et fortes

Il ne s’agit pas de faire une représentation objective de la personne aimée. L’état amoureux plaçant la personne aimée sur un piédestal « mignonne elle a dessus la place », elle est au-dessus du lot et tout en elle devient charmant, exceptionnel, stupéfiant, enviable.

Les travers sont charmants (exemple), ce qui est remarquable devient exceptionnel, (exemple), on est plus dans l’hagiographie, dans l’embellissement à outrance que dans une description réaliste (exemple Ronsard allons voir si la Rose…)

1.2. Réinventer la femme aimée : la poésie n’est pas la peinture de la réalité- trop plate- ex Ronsard allons voir si la rose compare le teint de sa chérie a la couleur délicat d’une fleur fraichement éclose .c’est aussi un hommage a la délicatesse de la femme aime car la fleur est qqchose de fragile

Objectivement mensongère, il ne s’agit pas de faire une description fidèle de la femme aimée comme le ferait un naturaliste ou un ethnologue. Le naturaliste dépeint objectivement les traits de l’objet d’étude par ex Baudelaire ds a une passante compare la femme a une statue : « agile noble avec sa jambe de statue ». Il compare la femme à un miroir dans lequel se reflète le ciel et ou naissent des phénomènes météorologiques extrêmes « dans son œil, livide où germe l’ouragan ». cf « Hyme à ma Beaute » de Baudelaire la femme aimée est comparées à un ange « viens-tu du ciel » ou à une Déésse des enfers « ou sors tu de l’abime ».

Ronsard reinvente la femme par une comparaison dans « a cassandre »ou il compare sa robe au soleil « sa robe de pourpre au soleil ».la femme est aussi reinvente sous forme de dessin avec un ensemblede mots ,un calligramme. notamment les très célèbre calligramme de guillaume apollinaire

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