Les liaisons dangereuses, Laclos

Les lumières sont un courant philosophique et littéraire européen de XVIIIe siècle basé sur la raison dans le but de sortir des préjugés et d’amener l’homme  vers le bonheur et le savoir. Les écrivaines des lumières défendent les libertés collectives et individuelles. Ils prônent le progrès, l’acquisition de connaissance, la science et la liberté. Les principaux auteurs comme : Rousseau, Voltaire et Montesquieu sont étoiles de cette époque et ils ont crée les œuvres brillant. Parmi tous les œuvres, il y a autre roman privilégié. Les liaisons dangereuse est une histoire de séduction, de libertin et de pouvoir. C’est un roman épistolaire dont compose des 175 lettres écrit par Pierre Choderlos de Laclos et publié en 1782. Le roman raconte les aventures de deux libertins : La Marquis de Merteuil et Le Vicomte de Valmont, qui ont été amants et sont restés amis et maintenant, ils commencent les jeux de séduction en faisant un loisir de jour avec les sentiments des autres. En effet. Entres les deux libertins, Valmont est un séducteur stratégique qui affiche du mépris pour sa victime, particulièrement pour Mme de Tourvel.

Premièrement, Valmont est un libertin et séducteur stratégique. Après de nombreux échecs et victoires, Valmont procède beaucoup d’expérience pour séduire de Mme de Trouvel. Il sait que l’amour est meilleur outil pour fasciner sa victime. Il sait bien comment jouer avec le visage, Les yeux, la voix et le corps pour arriver le fond de Trouvel. La prochaine étape est : préparation de l’autel. Dans la citation suivant : «  mais…. » (l.74 à l.76), l’euphémisme «  théâtre de ma victoire » explique qu’il transforme le autel à la scène de théâtre. La séduction de Madame de Tourvel est conçue comme entreprise théâtrale, dans laquelle Valmont se met en scène et on peut imaginez qu’on entend la voix du directeur qui dit: lumière, voix et action. Il tire sa proie à la trappe et Il tord sa magie devant elle et à la fin, sa pauvre victime tombe dans la trappe. Les manœuvres en vue d'atteindre son but (stratégie) est efficace.

Dans le même ordre d’idée,  la séduction de Madame de Tourvel est présentée comme une victoire militaire, et le champ de relation intersexuelle est clairement marqué comme un champ de bataille. Il choisit autre stratégie. La stratégie militaire aussi est bon outil pour vaincre.il sait que la stratégie est l'art de faire la guerre et pour gagner ce guerre, il s’habille comme un commandeur. Dans cette citation : « j’ai forcé… » (l.200 à l.204), on peut voir la gradation figure de style. La gradation illustre bien sa tactique pour arriver à la fin. Il planifie étape par étape, il choisit le terrain, après ca, il joindre dans la retraite de l’ennemi, ensuit, il laisse entrer la terreur à cote de sa ennemie et à la fin il attaque. Il s’agit de percevoir la séduction comme une tension entre des attaques et une résistance Il fait bien son job rythmique et on peut dire qu’il fait bien sa stratégie.

Bref, l’art du séducteur, c’est justement de savoir repérer ces moments de faiblesse, afin de triompher des prétentions à la vertu de la victime et Valmont utilise la stratégie militaire et théâtrale pour atteindre son but.

Deuxièmement, Valmont affiche de mépris pour sa victime. Il ne respecte rien des femmes. Pour lui, les femmes sont comme un matériel pour son but. Dans le lettre 125, on peut voir les vocabulaires qui confirment cette idée, comme : « femme haineuse, belle recluse, prude etc. » Par ailleurs dans le premier paragraphe du lettre 125 « La voilà donc vaincue, cette femme superbe qui avait osé croire qu'elle pourrait me résister ! Oui, mon amie, elle est à moi, entièrement à moi, et depuis hier, elle n'a plus rien à m'accorder.» (l.1 à l.3), l’hyperbole «  femme superbe » qui se joindre au verbe oser et aussi la redondance  «  moi », clairement, explique que pour lui, juste lui-même est important et il ridiculise les autres. D’autre part,  Valmont utilise par ailleurs cette lettre pour construire de lui-même une image de libertin accompli. Un libertin qui peut jouer avec les sentiments des autres mais sans intérêt. Dans la citation suivante : « tandis que je parlais,….m’éloigner. » (l.185 à l.188), on peut remarquer les vocabulaires comme : « feignis et feindre » déterminent que il ridiculise Mme de Trouvel  et il joue bien devant sa victime. En somme, on peut voir que Valmont est un libertin qui affiche du mépris pour sa victime.

...