Les Nouvelles Technologies, Des Relations Modifiées

Les nouvelles technologies sont omniprésentes dans notre société et nous permettent un accès immédiat à l'information et à autrui. De ce fait, les relations avec les autres sont modifiées et on peut aussi parfois parler d'une dépendance à ces nouveaux moyens de communications.

Nous étudierons donc ce sujet grâce aux documents suivants:

L'affiche plublicitaire Esmenta qui propose de soigner la dépendance aux nouvelles technologies grâce à l'acupuncture.

Le portable, doudou envahissant des grands écrit par Martine Laronch paru dans Le Monde en septembre 2010, compare le smartphone à un jouet et même à un doudou grâce à l'exemple d'un réalisateur de documentaires.

Je n'ai plus de smartphone, j'ai tué mon compte Facebook,,, et je revis! paru sur lemonde.fr en juin 2011, traite d'une vie sans nouvelles technologies grâce à une déconnexion de celles-ci.

Ultramoderne solitude écrit par Marie-Joëlle Gros et Catherine Mallaval, paru dans Libération en mai 2011, au sujet de personnes dépassées par la technologie, les low-tech.

Dans un premier temps nous analyserons la dépendance que peut provoquer les nouvelles technologies puis dans un second temps la vie de gens déconnectés au milieu de personnes connectées.

Peu de personnes ne possèdent pas de smartphones, tablettes ou autres outils de communications, peu importe leur âge et leur statut social. Le smartphone, puisqu'il s'agit le plus souvent de ce dernier, semble même greffé aux mains de son propriétaire. Martine Laronche soutient qu'il permettrait aux adultes de retourner en enfance. En effet, il possède tellement de possibilités qu'il réunit tout nos désirs en un seul et même outil ludique, que ce soit jouer, partager avec nos amis, regarder des vidéos, écouter de la musique, s'informer ou même faire des achats. Seulement il est plus qu'un jouet, c'est un doudou. Le simple fait de s'assurer qu'il est là nous rassure, notre envie de le consulter est incessante et s'il venait à disparaître, cela serait similaire à la fin du monde.

De plus, le fait de l'avoir constamment à portée de main atténue la solitude, nous fait sentir en sécurité et remplit les moments d'ennuis. C'est un réel soucis d'après certains chercheurs qui pensent que cela nuit à notre imagination, et surtout à notre relation avec les autres, en particulier lorsque l'on privilégie le contact virtuel au contact réel. C'est alors que l'on peut parler d'une dépendance à la nouvelle technologie et donc de soins tels que l'acupuncture pour y remédier comme sur l'affiche publicitaire d'Esmenta. Cette dernière montre à quel point nous pouvons être intoxiqué par notre smartphone puiqu'il nous représente en tant que patient comme si nous existions à travers lui.

Ainsi, plus de la moitié des Français souhaiteraient se déconnecter d'après lemonde.fr mais seulement très peu font ce choix. Dans un premier temps cela peut être handicapant puisque tout le monde communique ou se tient informer via les réseaux sociaux et téléphone. On se sent alors mis de côté et à la limite invisible et surtout sans visibilité des autres. Mais les personnes qui ont tenté

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