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Les Lumières de Kant

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Par   •  3 Novembre 2020  •  Cours  •  1 293 Mots (6 Pages)  •  464 Vues

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Les Lumières par la réflexion de Kant

K

ant s’interdit de ravaler la foi en dieux au sein d’une simple opinion, trois modalités de la créance. La foi n’est pas un savoir, on ne peut jamais prétendre savoir ce que Dieux veut, la foi ne délivre qu’un savoir de vie. Kant admet qu’il est inaccessible de prouver la présence ou non d’un Dieux. L’affirmation que Dieux existe relève de la foi.

« Tout homme nait libre et égaux de leurs droits » Kant

C’est une proposition définie par Kant qui concerne toutes proposition métaphysique, au-delà de tous ceux qu’on peut commettre.

Après le concept d’entendement, despotisme, de majorité et minorité, liberté, droit.

Concept de liberté, conditions d’impossibilité et de possibilité, que faut-il pour qu’il y est lumière, rien d’autre que la liberté dit Kant, on pourrait penser qu’il écrive par prudence, ayant dû obéir à une injonction politique et censure, c’est la forme la moins préjudiciable et la moins nuisible. Penser personnellement signifie penser par soi-même sans contraintes soit sans influence. Sans liberté, que signifierai penser par soi-même, s’opposer aux formules et plus largement aux institutions.

La liberté est définie par Kant comme un droit, d’avoir conféré à la liberté de penser de Kant et de savoir d’un droit à la raison et de la raison.

Liberté inconditionnel, caractère paradoxal de cette liberté puisque toutes libertés s’accompagnent d’une limite. Caractère juridique de cette liberté qui est posé par Kant comme un droit, droit au savoir, droit à la pensée de sorte que tout acte qui porterai atteinte à cette liberté est nulle et non avenue. Dire qu’un homme se donne gratuitement c’est dire d’une chose absurde et inconcevable, tellement l’acte est irraisonnable. Aucun contrat ne peut détruire la liberté d’un homme, tout individu né libre, elle est naturelle à tout homme, et aucun individu ne peut s’en détacher. Renoncer à sa liberté c’est renoncer à sa qualité d’homme, renoncer à soi. C’est une qualité morale.

« Ôter toute moralité de ses actions que d’ôter toute volonté » J.J. Rousseau

Un homme qui renonce à sa liberté le rend au statut d’animal, si nous ne nous pensons pas comme libre alors que peut signifier le blâme. Dire qu’un animal agit par instinct c’est dire qu’il agit par sa nature mais en aucun cas ils agiront librement.

Un blâme n’a de sens que pour la personne qui est libre d’agir. (Cf. Texte n°51)

Qu’est-ce que l’homme doit, savoir, devoir, espérer ?

Critique savante d’une injustice, des fautes et des erreurs

L’écart entre l’espérance des lumières et l’histoire telle qu’elle a été faite. L’idéal des Lumières penser par soi-même est un idéal.

L’Héritage des Lumières

L’affirmation des droits de l’Homme

Les Lumières constitues-t-elles une promesse qui n’est pas éteinte ?

Certes l’histoire n’est pas du tout allée dans le sens espéré mais est-ce à dire que l’espérance des Lumières est éteinte, quelle ne vaut plus.

Il s’agit d’interroger les Lumières en tant que promesse

  • En quoi s’agit-il d’un héritage des lumières ?

  • Qui est l’homme et quel est l’homme des droits de l’homme et si cette affirmation est rendue possible par une tradition de pensée qui n’est pas philosophique puisqu’il s’agit du christianisme ?
  • Concept de liberté à l’œuvre dans la déclaration des droits de l’homme ?

Les droits de l’homme sont de nos jours une évidence, on serait en clin à penser qu’elle est naturelle à l’esprit humain, sans histoire. Dire qu’elle est naturelle à l’esprit humain.

 Dire qu’elle va de soi est dire qu’elle est naturelle à l’esprit humain. Naturel en opposition à historique.

Un État puissant et centralisé, la légitimité de cet État ne repose plus sur le côté de la théologie (penser comme venant de Dieux) le pouvoir n’est plus du droit divin. L’État moderne est né dans un contexte de guerre de religion. Le fait que nous reconnaissons l’État comme légitime aux décisions.

(Cf. Texte n°40 Chapitre 3 page 140) 3eme alinéa, Rousseau dit

« Obéissez aux puissances… »

2) L’État moderne entend rompre avec les structures traditionnelles du corps social, structures hiérarchiques

L’affirmation des Lumières apparait comme un contre coup de la montée des puissances. Les droits de l’homme ne sont pas les droits d’appartenance

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