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Lecture Analytique

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Par   •  25 Novembre 2013  •  Commentaire de texte  •  811 Mots (4 Pages)  •  609 Vues

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Marivaux, 18ème siècle fut journaliste, romancier mais surtout auteur dramatique, il reprend des personnages, essentiellement Arlequin, de la commedia dell’arte dans toutes ses pièces comme dans Le Jeu de l’amour et du hasard écrit en 1730. Cette pièce raconte un quiproquo de pleins de personnages. Nous allons nous demander en quoi cette scène repose-t-elle sur une théâtralité. Pour répondre a cette question, nous allons faire trois paragraphes, le premier traitant de la question du comique dans cette scène mais avec une réflexion sur le mariage, le deuxième sur les relations des personnages et enfin le troisième sur le quiproquo des personnages.

Je vais donc commencer ma première partie qui est je vous le rappel « une pièce comique mais portés sur la réflexion du mariage ».

Tout d’abord, nous pouvons repérerez que le comique d’Arlequin repose sur un comique de situation, en effet, le quiproquo des personnages crée le comique de cette scène. Silvia utilise quand a elle l’ironie, quand elle dit « En effet, quelle si grande différence y a-t-il ente être marié ou ne l’être pas ? », elle fait du mariage une chose sans importance alors qu’elle trouve ça important, elle ne veut juste pas contredire Arlequin car elle pense que c’est son futur mari.

Le mariage prend alors une placez importante dans cette scène, nous pouvons voir que Silvia met en évidence son incompréhension de la scène et donc de ce sujet en posant beaucoup de question et avec la dernières répliques « Que le sort est bizarre ! aucun de ces deux hommes n’est à sa place ». Nous pouvons également remarque que le mariage est une chose peu importante pour Arlequin, ce qui dérange un peu Silvia. « je viens pour épouser, et ils m’attendent pour être mariés, cela est convenu, il me manque plus que la cérémonie, qui est une bagatelle. ».

J’ai terminé ma premières parties qui étaient je vous le rappel « une pièce comique mais portés sur la réflexion du mariage », je vais donc passer à la deuxième qui est porté sur la question de la complicité des personnages.

Tout d’abord, nous pouvons remarquer que Arlequin fait partie de cette scène, c’est un personnage créer par la commedia dell’arte, valet famélique, superstitieux et poltron, il revendique haut et fort la satisfaction de ses besoins naturels élémentaires. Nous pouvons alors repérer que les présentations d’Arlequin avec les autres personnages sont éludés puisqu’il se présente tout seul dans ses répliques, il dit d’abord que Monsieur Orgon est son beau-père et que la fille de cet homme est sa femme « qu’on allait avertir mon beau père qui était avec ma femme », et que Dorante est son valet « Que dites-vous à mon valet ».

Ensuite, nous avons des indices montrant qu’Arlequin a les répliques d’un maître et non d’un valet comme l’emploi d’expression familière comme « ma femme » ou « la belle ». On voit donc qu’Arlequin joue un rôle, il est donc acteur d’une pièce dans une pièce, c’est une mise en abîme. Cette scène met en évidence un rapprochement entre Silvia et Dorante puisque Silvia parle doucement a Bourguignon, elle lui souffle des paroles qu’elle ne dirait pas a Arlequin, elle se confit donc plus a Bourguignon, de plus, Bourguignon prend le parti de Silvia ce qui met en évidence leur rapprochement.

Je

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