Le roman au XVIIe siècle

Le roman

Au 17eme, cst un genre critiquer. Car ce n’est pas un genre noble. Ce n’est pas un genre qui dispose de règles. Au 17e, on aime l’antiquité, et dans l’antiquité, il n’y avait pas de romancier. Condamnation historique, sociale et morale. Le roman encouragera en mauvaise mœurs (cherche un exemple). Le roman est le genre majeur. Un genre qui a mauvais genre.

Les romans nobles, ce sont des romans précieux, des romans fleuve faisant des milliers de pages. Dans des 10aines de volumes. Romans héroïque à intrige. Roman précieux. Romans héroique et romans fleuve (bcp de rebondissement et bcp d’actions, d’intrigues).

également romans comique, Scarron. Dans les romans burlesque, on se moque des bourgeois et noble.

Le roman d’analyse le plus connu du 17e est écrit par une femme, madame de la Fayette. « la princesse de cleves ». Elle se concentre sur une action principale. C’est un roman car elle contrôle ses émotions par la raison. C’est ce qu’une honnête femme classique doit faire. On appelle sela roman d’analyse car elle essaye de prendre du recul, de raisonner. Le premier point de vue que l’on a est celui du narrateur. L’analyse des sentiments est faites par le personnage et par le narrateur. La vie psychique est intense pusique la princesse fait de l’introscpection. Elle repère un clivage (une sépration) entre ce que la raison permet et ce qu’elle ne permet pas. Elle essaye de ne pas tombé dans l’adultère, elle fait donc un travail sur elle-même. L’honnete femme soit maitriser ses passions. Le personnage est très tourmenté puisqu’elle cherche des réponses. Le ton du texte est assez raisonner, on va le lien entre la situation du personnage et la desciption de se personnage. Ca reste bienscéant. C’est donc tipiquement un roman classique.

L’évolution du roman au 18e. C’est aussi un genre critiqué, mais très lu par la bourgeoisie, particulièrement.

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