LaDissertation.com - Dissertations, fiches de lectures, exemples du BAC
Recherche

Le nègre de Surinam

Commentaire de texte : Le nègre de Surinam. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  3 Janvier 2019  •  Commentaire de texte  •  398 Mots (2 Pages)  •  315 Vues

Page 1 sur 2

Dans les animaux malades de la peste De La Fontaine  critique les relations humaines Mais de quelle manière les critique-t-il ?

Tout d’abord de La fontaine critique les « puissants » du 17e siècle de plusieurs façons. En premier lieu il critique leur hypocrisie en utilisant un ton convivial comme « mes chers amis » (v.15). Pour accentuer ce fait il utilise également des hyperboles en utilisant le mot « trop » (v.34-35) deux fois ce qui marque une flatterie exagéré de la part du renard. Il montre aussi que la cour n’a pas de personnalité par le fait qu’elle n’utilise pas de « je » en dehors du roi. En deuxième lieu il critique une société soumise à la religion  par l’utilisation des mots « péché » (v.37), «Seigneur »(v.37), « saints »(v.48) , « dévouer » et « maudit » (v.57). C’est une dévotion sans retenu au roi. En dernier lieu, de la Fontaine critique une cour qui fuit ses responsabilités en faisant du roi un personnage qui se croit au-dessus de tout le monde. Il le montre en employant « mais je pense » (v. 30). De plus il nous montre que cour fuit ses responsabilités car elle ne veut point remettre en questions ses actes passés. On peut le voir grâce à l’utilisation de la gradation « manger montons, canaille, sotte espèce » (v.36) mais aussi en écrivant « au dire de chacun » (v. 48) ce qui accentue cette idée. Finalement il nous montre la brutalité de a sanction en utilisant deux mots dons la sonorité est très proche : « peccadille » et « cas pendable » (v.59).

Ensuite  le « misérable »  du 17e siècle représenté par l’âne qui nous représente une certaine naïveté d’une partie de la population. Par exemple dans le discours de l’âne et du lion, l’âne ne se rend pas compte de l’impertinence de ses paroles dans un monde où seul le roi est tout puissant. L’âne utilise le pronom personnel « je » (v. 16,51…). Par ailleurs cela marque aussi son insolence : il est honnête, il parle vrai… Se sont les motifs de sa condamnation et de sa différence avec le roi et le renard. Malheureusement il ne prend pas conscience des véritables enjeux de sa confession. De plus ce personnage semble très superstitieux avec l’emploi de « quelque diable » (v.52).

...

Télécharger au format  txt (2.2 Kb)   pdf (41.1 Kb)   docx (10.3 Kb)  
Voir 1 page de plus »
Uniquement disponible sur LaDissertation.com