Le Parfum, Patrick Süskind

Au milieu du 20 siècles, un auteur renommé a donné vie à un chef d’œuvre. Ce classique s’intitule Le Parfum. Ce récit met en vie l’histoire d’un jeune garçon au sens de l’odorat surdéveloppé. En quête d’odeurs de plus en plus pures et raffinées, il cherche à concevoir le parfum ultime. Plusieurs grandes œuvres ont eu droit à leur adaptation cinématographique. Le Parfum n’en fut pas différent. La réputation de classique que s’est forgée Le Parfum montait davantage la barre, car un tel roman est unique en son genre. Relever un tel défi n’est jamais facile. De plus, celui-ci comporte une épreuve supplémentaire ; l’interprétation du monde olfactif dans lequel Jean-Batiste Grenouille vivait. Nous avons eu la chance de prendre connaissance de la grande œuvre de Patrick Süskind. Les ouvrages nous ont été présentés sous la forme cinématographique et éditoriale. Une question se pose maintenant, l’œuvre cinématographique rend-telle justice à sa version originale ? Nous allons traiter cette question en abordant la validité du long métrage sur des aspects tels que la représentation psychologique de Grenouille et de son monde olfactif invisible.

L’œuvre Le Parfum est très intense psychologiquement. Certains passages nécessitent de la réflexion. L’évolution psychologique et émotionnelle du personnage en est la cause. Cette croissance du personnage est-elle à la hauteur dans le film par rapport à ce que le roman nous présente ? À notre avis, la version papier comporte largement plus de détails sur certains points ;

• Les expériences de Grenouille,

• Son comportement

• Les conséquences qu’on les évènements sur sa personnalité.

Les passages où Grenouille voyage à travers la France sont ceux où il découvre réellement jusqu’où la pureté, puis éventuellement, jusqu’où la qualité d’un parfum peut aller. Comme démontré dans l’exemple ci-contre : ... Ce parfum était un mélange des deux, de ce qui passe et de ce qui pèse ; pas un mélange, une unité, et avec ça modeste et faible, et pourtant robuste et serrée, comme un morceau de fine soie chatoyante... Cet exemple montre vraiment la complexité avec laquelle Grenouille perçoit les odeurs.

C’est lors de ces moments qu’en tant que lecteur on se sent le plus près du personnage. Chacun d’entre nous avons ressenti le plaisir de le découvrir. Parallèlement, l’œuvre cinématographique requiert l’analyse du jeu des acteurs. Bien évidemment, la mise en scène est réussie merveilleusement. Celle-ci complète

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