Le Laboureur

Le Laboureur de Albert Samain est un poème formé de 18 vers en alexandrins qui pourrait correspondre aux 12 mois de l’année (un cycle). Le poème commence par le mois de « Mars » v1 : début de l’année agricole avec le labour et les semailles. A travers ce poème le thème de la terre est présent par son titre « le laboureur » qui est une personne chargée de retourner la terre à l’aide d’une charrue. De plus ce mot est répété deux fois en début de vers dans ce poème (v4, 14) ce qui permet d’intensifier et donner de l’importance à cette personne étant la plus proche de la terre. Ensuite cet élément est identifiable par son champ lexical aux v4 « terre », mis en fin de vers en parallèle avec « laboureur», au v11 « glèbe », au v 12 « le sol », « entrailles », au v14 « champ » et au v18 « sillon ». On retrouve une synecdoque au vers 6 : Ce procédé sert à remplacer un mot par un autre en ayant une relation d’inclusion. Ainsi « le sein » désigne la terre. Ce vers coupé à la césure et formant de hémistiche, suggère l’élément de la terre par la répétition de « sein toujours » mais aussi par les noms utilisés : « blessé » et « fécond » puisqu’on l’a travaille beaucoup. Enfin dans ce poème, non seulement la terre est présente mais l’air aussi.

(il faut revoir la fin pour introduire le thème de l’air parce que ca va pas trop je trouve que ca se termine assez brutalement et aussi j’avais pensé à d’autre trucs mais je sais pas si va avec la terre :3 bref tiens je te les dit quand même au cas ou : j’avais pensé au début il parle du lever du soleil avec l’aube et à la fin du poème il parle du soir donc ca fait le cycle de la journée. Après au niveau du rythme il est de plus en plus saccadé, a la fin il y a beaucoup de virgules et de conjonctions de coordinations « et » ca peux suggérer la dureté qu’a le laboureur, et aussi les chevaux à retourner la terre (de plus en plus de mal et de fatigue) et aussi avec « la plaine » au vers 16 qui montre l’infini de la terre…voila voila)

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