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Le Fantastique Dans La Littérature

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Par   •  14 Décembre 2014  •  Analyse sectorielle  •  1 799 Mots (8 Pages)  •  918 Vues

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Phrase de Denis Millier : Il ne détache pas totalement l’univers du fantastique de celui de la mimésis, l’imitation du réel.

Ce propos, ce rapprochement peut s’éclairer par les contes d’Egar Poe (principe freudien d’inquiétante étrangeté), quand le surnaturel investit le monde normal (idées d’autres exemples ??)

Un fantastique aux effets d’autant plus perturbants qu’il consiste à déformer un monde connu (en apparence)

En littérature, le fantastique se caractérise souvent par le renversement de la perception rationnelle du réel : Introduire du doute et de la perplexité dans les représentations ordinaires. (autres idées ?)

-Le Horla de Maupassant

Irène Bessière

Le fantastique n’est pas modification du réel, c’est un ailleurs pur détaché. Inconsistant, doit-il s’opposer à incohérent ?

Chercher des idées de surnaturel en littérature !

Ex Elo : Statue parlante dans Don Juan – récits de sorcières au moyen âge.

Jeunesse éternelle de Dorian Grey - La peau de chagrin.

Fantastique : littérature romantique allemande (Hoffman) – roman gothique anglais (le château d’Ortrante Walpole)

Idée de plan

Références à placer

-Stephen King (Shining)

1) Réalisme composante nécessaire du fantastique

-Edgar Poe : Nouvelles fantastiques

-Le Horla de Maupassant

Littérature gothique normative : Les espaces sont stéréotypés (chateaux en ruine, sous terrains ténébreux, sombres forets

Le gothique fantastique nait à Londres 18ème :

Dans ce type de récit, bien souvent, le surnaturel est un leurre et se délite après que l’explication rationnelle a donné le fin mot de l’histoire. C’est alors le jeu du « surnaturel expliqué », récit de l’ultimo ratio … Mais les explications rationnelles ainsi que le manque de subtilité qui habille le gothique font perdre un certain charme au récit.

TOUJOURS garder en mémoire que le sujet, narrateur, lecteur est visé.

Tentative de définition par le réel

Pierre Larousse : Dans l’écrivain fantastique, il y a généralement un réaliste violent » -> il cite aussi la definition du fantastique nervalien par Charles Asselineau comme « combinaison du naturel et du surnaturel dans la vie humaine ».

Distinction avec le merveilleux (peut être en II- 1 ?). Dans le merveilleux, le surnaturel est communément admis comme composante du genre et rappelé au lecteur avec des formules type « Il était une fois » ou ?

Freud : « Le monde du Conte a quitté d’emblée le terrain de la réalité… »

Le fantastique présuppose lui un contexte spatio temporel réaliste et reconnaissable (Prendre des exemples -> ma bibliothèque)

Irène Bessière : « A l’inverse du récit merveilleux (jonction paragraphe précédent), le récit fantstique est thétique ; il pose la réalité de ce qu’il représente ».

La mimesis est donc recommandé pour faciliter au lecteur l’identification au personnage et croire en l’histoire qui lui est narré avant le point de bascule.

Ex Hoffman : Vase d’or, Ville de Dresde et autres utilisations de Toponymes du genre

Phrase de transition ? Ou petite partie du 1 : Le fantastique ne s’oppose pas au réalisme, bien au contraire, il le suppose. (rephraser un peu).

Elargissement du sujet et de la definition : le fantastique repose essentiellement sur un effet de réel

->le fantastique est l’immixtion du désordre dans le réel (alors que le féérique faisait de ce désordre son ordre même.). Opposition d’emblée Monde merveilleux/monde réel

Gautier : « Le fantastique a toujours un pied dans le monde réel. »

L’écriture fantastique implique d’envisager le surnaturel comme déboussolant, inquiétant, effrayant… Laissant le personnage dans l’hésitation, le questionnement, l’incertitude

La mimésis, grâce au rationalisme du roman réaliste qui exclut le surnaturel dès le 17ème, devient l’occasion du fantastique. Même nié, il n’est pas exclu de l’imaginaire.

C’est en effet la croyance que le monde est rationnel et que le surnaturel est par définition impossible qui sont les conditions nécessaires au point de basculement fantastique.

(L’animiste ? ne connaitra jamais l’inquiétude fantastique)

 Pas d’effet fantastique sans une description réaliste consciencieuse. ESSENTIEL – reprendre le cadre fixé dans 3-4 romans de base (Cazotte – La peau de chagrin –

Le fantastique dans le rève : une réalité amplifiée ?

-« Les contes fantastiques » de Charles Nodier : Travail sur les images du rève et de la folie.

-> jouent de l’ambiguité entre l’état de veille et celui du sommeil (conte « une heure ou la vision »)

-« La morte amoureuse » théophile Gauthier

Idée : Le fantastique est réaliste, mais en plus il contribue à révéler le réel.

Autre idée : un seul évenement fantastique suffit à inverser la cohérence du monde

Transition : Hoffma, se soustrait aux principes de Jacques Callot consistant à unir sans heurt le réel et le fantastique. Ce mouvement de bascule entre le réel et l’imaginaire est l’une des constantes de la création Hoffmanienne qui contribue à crée le genre.

Poe…

La littérature fantastique de la 2ème moitié du 19ème : cherche à produire un écho littéraire aux cas troublants de la médecine psychiatrique.

 Hypothèse rationaliste de la folie

Maupassant :

Une absence

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