Le Destin d'Ourika, Claire de Dufors Duras

Joud Al Marar

FRE 310

Prof Borella

Paris au 19eme siècles

Le Destin d' Ourika

La lecture de l'histoire d'Ourika écrite pas Claire de Dufors Duras fut certainement courte mais très

touchante. Les différents thèmes soulignés dans ce roman, fidèle aux thèmes d'un récit romantique,

sont malheureusement toujours présent dans le monde aujourd’hui. L'auteur a voulus

courageusement introduire les problèmes de discriminations de son époque a travers la voix d'une

femme Africaine sous le nom d' Ourika. Cette jeune femme venant d' Afrique était évidemment

d'une peau noire, un handicap pour la société française de cette époque remplis de transitions,

de bouleversements et de jugements. L’idée de Liberté Égalité et Fraternité n’était qu'un mythe

pendant le 19eme siècle. Pourtant, a travers l'histoire tragique d'Ourika, l'auteur nous introduits les

sujets clés durant cette période: La solitude, le racisme, la religion, l'amour, la terreur ...etc.

L'histoire d'Ourika commence dans un couvent, un endroit d'échappement ou plutôt de protection

pour ceux qui étaient rejetés par la société. Un espace ou Ourika était tombé malade a cause de son

sort. La vie de la protagoniste était remplis de luttes lorsqu'elle c'est rendus compte

qu'elle n'avait aucun choix pour son futur. Son destin était inévitable. Etant élevé dans une famille

noble, dont elle était chanceuse, elle était aveuglée de la réalité de sa situation jusqu'à l'age de 12

ans. Lorsque on pense de la France nous pensons pas nécessairement a la question d'esclavage,

malgré que c'est une question importante qu'il ne faut pas négligée.

Ourika c'est retrouvée physiquement et mentalement dans un état désespéré. Etait elle vraiment

toujours heureuse comme elle insiste tout au long du récit? Je m'en doute.Puisqu'elle mourrait tout

doucement, c' était peut être juste un mensonge dont elle y croyait pour se sentir plus vivante je

dirais. Tout au long de la narration, des émotions confus peuvent être observe. Son sort l'a

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