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La voix des femmes

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Par   •  21 Janvier 2018  •  Commentaire d'arrêt  •  1 181 Mots (5 Pages)  •  574 Vues

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APUNTES

LA VOIX DES FEMMES

La première génération d’écrivaines africaines francophones (1958-1980) né dans un contexte de fracture de continent, dette et mort de la négritude. Il y a des difficultés pour la création littéraire.

On ne peut pas dire que la femme été avant complètement exclu de la littérature, la femme a été toujours présente à la littérature orale.

La première génération d’écrivaines africaines francophones (1958-1980)

Contexte de cette littérature 60-80 :

  • La dette
  • La fracture du continent
  • Difficultés pour la création littéraire
  • Mort de la négritude
  • Société très compliquée

La femme africaine, on ne peut pas dire, qu’il n’y avait pas des femmes à la littérature (1960) → la femme a été toujours présente à la littérature orale

« Je m’appelle --- et je me souviens » c’est la phrase d’introduction en Afrique des contes. Cette phrase est répété à la fin du conte.

En Afrique, les espaces sont divisés : il y a des espaces pour la femme (comme la maison) et des espaces pour les hommes.  Les femmes ne peuvent pas conter des histoires aux enfants jusqu’au  7 ans. Si c’est une fille, elle peut continuer « à la maison » ? mais s’il s’agit d’un garçon, il quitte cette espace pour aller avec les hommes, aux espaces masculins pour savoir comment doit être un homme africain.

Elle devient à la fin conteuse (c’est sa profession)

« Femmes à l’ombre mais pas en silence » → elle a été toujours dans la littérature

Pendant la période de la colonisation, c’est vrai que les femmes ont été beaucoup d’années en silence. C’est à cause de la mision civilisatrice parce que les enfants commencent à apprendre le français et à oublier son langue autochtonne donc, bcp des mères n’ont pas pu se communniquer avec ses enfants. Donc, ici commence le silence des femmes dans la période de la colonisation.

- les filles ont été exclues du système éducatif colonial.

- elles ont réussi à faire un petit littérature avec « los paños » qu’elles portaient → même si elles étaient avouées au silence, elles ont parlé.

- Dans les années 20, les colonisateurs se sont rendu compte de qu’il faut que les femmes vont à l’école aussi. Mais pourquoi ils ont décidé ça ? parce que pour evoluer devraient oublier completement l’africain (il y avait une double éducation : à l’école et à la maison). Donc, de cette manière tous parlarient le français et oubliraient sa propre culture. Ils evitarient aussi les méfis, parce que les hommes qui  avaient apprendre le français et ils se croyaient français, ils ne voulaient pas se marier avec un nègre (elles n’avaient pas son intelligence) donc, cela interdirait le mariage mixte.

- École Normale Supérieure de Rusfique (1939) → école pour les femmes. Crée 10 années plus tard de celui des hommes appellé « École Normale Supérieure de William Ponty ». Ils pouvaient être professeurs et médecin et elles, sage femme (matrona) et professeures. Elles se sont mariés entre eux (une femme de cette école avec un homme de l’autre école).

La femme a le droit d’apprendre → naissance de la littérature des femmes.

FEMMES APRÈS LES INDEPENDANCES

  • Après les independances :  arrivée de la femme africaine à la littérature ecrite en français.
  • Les ecrivaines Mariama Bâ… ( 8 femmes qui ecrivent entre les annees 60 et les annees 80)
  • Caracteristiques :
  • elles sont des écrivaines d’un ou deux romans. A exception de Ken Bugul qui reste jusqu’à la fin.
  • Presque tous les romans, sont auto ou semi-biographiques.
  • Le thème : univers privé feminin : femmes qui n’ont pas sortis de l’afrique, qui n’ont jamais quitté l’afrique.
  • Donc, le scénairo est l’afrique
  • Grace a la scolarisation des femmes et a la creation de foyers, les femmes ont peut ecrire
  • La deuxieme generation  est composee par des ecrivaines profesionnelles. Cette generation commence a partir de 1982- 2000 ses ecrits son semi-autobiographiques et de fiction. C’est une littérature de rancontre avec l’occident. Les themes sont de l’univers feminin prive et public.

LA PREMIÈRE GÉNÉRATION

  • 1978  Essaie de Awa Thiam, «  la parole aux négresses »
  • Moment de prise de conscience de qu’il faut parler, de que les femmes noirs doivent parler
  • Cette generation a été tres importante  c’est une vision tres objectif des femmes parce que c’est la première fois qu’on connait d’elles, raconté par une femme
  • 1958 : Roman autobiographique
  • 1969 : roman autobiographique : le drame de la sterilite en afrique
  • 1974 : autob : description de lafrique traditionnelle et les mutations en ce qui concerne la vie des femmes (c’est-à-dire la modernite vs la tradition)
  • 1975 : mémoires : le parcours d’une femme d’exception, elle est devenue politicienne. Elle parte aussi d’une description de l’afrique.
  • 1975 : autob
  • 1977 : roman : la vie des femmes
  • 1979 : autobiographique epistolaire : « une lettre si longue » : c’est fiction mais il raconte la vie personnelle de l’ecrivaine : une des thèmes principales est le système polygamique
  • 1980 : autobiographique en forme de journal intime : sterilite, conditions de femme et polygamie (le baobab fou)
  • 1983 : autobiographique : passage de la 1ère generation au 2ème generation : condition de la femme noire en europe : il a des caracteristiques des deux periodes

Elles ecrivaient pour témoigner, pour raconter ce qui passait à l’Afrique par rapport aux femmes. Beaucoup d’elles disaient qu’elles ecrivaient comme therapie. Une littérature comme arme.

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