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La réécriture de Racine de l'histoire des Sept Contre Thèbes

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Par   •  11 Janvier 2018  •  Commentaire d'oeuvre  •  1 892 Mots (8 Pages)  •  540 Vues

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La réécriture de Racine de l’histoire des “frères ennemis”

Agnès 15300120099

  1. L’auteur—Racine

Jean Racine est un dramaturge et poète français du 17e siècle. Avec Molière et Corneille, il est l’un des trois grands dramaturges de la période classique en France. Né dans une famille de petits notables et tôt orphelin, il est adopté par sa grand-mère et sa tante. Racine est intelligent, l’esprit vif. Son succès futur est le résultat des deux choses. La première est la cultivation des prêtres. Racine apprend le latin et le grec a l’abbaye et a une compréhension profonde de l’ancienne culture occidentale. La deuxième est que Molière Troupe a présenté la Thébaïde et Alexander le Grand, et lui a permis de maitriser la création d’une expérience théâtrale. Puis, il est élu à l’Académie française en 1672. La plupart de ses œuvres sont tragédies. Il est nommé Euripide en France.

  1. Résumé de La Thébaïde ou Les Frères Ennemis

La Thébaïde ou Les Frères Ennemis est une tragédie en cinq actes, mais il ne reçoit pas un grand succès. Son origine est la tragédie Les Sept contre Thèbes d’Eschyle et Les Phéniciennes d’Euripide. La première histoire au sujet des frères ennemies est celle d’Abel et Caïn dans la Bible.

Étéocle et Polynice sont les deux fils d’Œdipe et Jocaste, un couple incestueux. Dans la version de Racine, il récrit la tragédie. Jocaste n’est pas morte à la fin de la tragédie d’Œdipe Roi. Œdipe est mort, mais il a maudit que Polynice ne pourrait pas détruire la ville de son père, et leurs deux fils devraient s’entretuer et mentir dans votre propre sang. C’est l’oracle de cette tragédie. L’incident qui allume la guerre entre les frères est qu’Œdipe laisse deux fils se relayer au pouvoir, chacun une année. En effet, les deux frères s’étaient mis d’accord pour occuper à tour de rôle le trône. Néanmoins, après la première année régnée par Étéocle, il ne veut pas abdiquer. Ensuite, Polynice s’en va et revient avec une armée argienne pour reprendre le trône à son frère Étéocle. Jocaste sait que Polynice veut combattre Étéocle, donc elle persuade les deux, espérant qu’ils l’écoutent sa persuasion et arrêtent la guerre. Antigone, sœur des deux frères, fait la même chose comme sa mère. Thèbes a sept portes et les ennemies se divisent en sept groupes, chacun dirige par un grand chef, Polynice inclut. De même, l’armée d’Étéocle a sept grand chefs, Étéocle inclut. Enfin, la cité est sauvée, mais les deux frères ennemis finissent par s'entretuer au cours d'un combat singulier. Aussi, tous les personnages sauf Créon dans La Thébaïde sont morts à la fin.

  1. La réécriture

La version de Racine est évidemment différente de celle de Eschyle. Ensuite, l’essai peut analyser les différences dans quelques aspects.

  1. La participation de Jocaste

L'adhésion de Jocaste est en effet celle du troisième rôle tragique. Elle regarde ses deux fils s’entretuer, mais elle n’y peut rien. Dans le même temps, le centre du théâtre a également changé de fatalisme a l’affection familiale en ajoutant le personnage de Jocaste. Racine, comme l’auteur, a choisi à la fois l’affection et le fatalisme. L’une des raisons pour lesquelles Racine s’est adapté en cette façon est que Corneille a réécrit Œdipe Roi il y a trois ans. En ce moment-là, Corneille a aussi rejoint l’affection, donc Racine veut le défier. Quel est l’impact de cette adaptation ? Selon la théorie de tragédie, les figures tragiques ne peuvent pas être trop bonnes ni trop mauvaises. S’il n’y a que le fatalisme, le résultat des figures tragiques laissera le public se plaindre de Dieu, donc les personnages seront trop bons ; mais s’il y a seulement l’affection familiale, le résultat des personnages laisseront le public être contents plutôt des mauvaises émotions, de sorte que le personnage a tendance à trop mal paraître. Bien que l’ajoute de l’affection au théâtre de Racine a résolu le problème que le public pouvait avoir pitié du personnage, elle aussi laisser les caractères s’approchent l’aspect de ‘trop mauvais’, car ils peuvent choisir d’arrêter la guerre à cause de l’affection familiale, mais ils ne le font pas. Donc Racine justifie le motif de chacun et confère à sa version une belle raison pour déclencher cette guerre, pas une guerre inexplicable.

Quand Jocaste est allée pour persuader Étéocle, il l’a dit que ‘L'insolent Polynice et ses fiers allies laisseront Thèbes libre, ou mourront à mes pieds’. Pour Étéocle, cette bataille est sur le destin d’une cité, mais pour Jocaste, c’est sur le propre sang. Dans la version de 1664, Étéocle a dit qu’il avait été un enfant ministre afin d’obéir aux ordres de son père, mais maintenant qu’il était déjà dans le trône, il voulait garder le trône pour l’intérêt public. Evidemment, Étéocle va à l’encontre de la promesse initiale. Ça symbolise un pouvoir militaire absolu et une domination absolue. En cette raison, cette partie était éliminé en 1675, remplacée par la phrase qu’Étéocle laissait les sujets décider la propriété du trône : si les sujets choisissent Polynice comme le roi, il abdiquait la vertu ; si les sujets choisissent encore une fois chasser Polynice, il tenait ferme. La deuxième version était une manifestation de la maitrise populaire d’un pays république. Il dispersait la responsabilité de provoquer la guerre aux habitants de Thèbes, laissant Étéocle apparaître passif.

Après, Jocaste est allée trouver Polynice, espérant le persuader de ne pas lutter contre son frère. Il a commenté que les citoyens de Thèbes sont un peuple révoltes met au trône, et non pas son caprice, il la doit accepter.’ Le peuple n’a pas de droit de choisir son propre roi. Il se croit le roi juste. Maintenant, c’est le peuple qui le renversent, ceci est contraire les droits du peuple de servir au roi. Son idée est plus proche du pouvoir absolu.

Selon Polynice, le peuple pense qu’il est le tyran et Etéocle est le juste roi. Ce choix est hors de la raison, par la préférence personnelle. Le jugement de Polynice se situe dans le légitime rang quand discuter la légitimité du trône, ceci signifie le testament d’Œdipe. Mais Étéocle pense que la légitimité du trône se situe dans le choix du peuple. La discussion sur la légitimité du trône est la comparaison entre le républicanisme et la monarchie absolue. Le processus de la justification de Racine tire parti des deux interprétations du ‘tyran’ – tyran et seigneur. Les deux traductions reflètent les deux types des idéologiques politiques. En justifiant les deux frères, Étéocle devenue mauvais et Polynice va mieux. Quand Jocaste ne peut pas persuader les deux, elle pense les rassembler et laisser les deux se rencontrer dans le palais ou ils étaient nés ensemble. Ella a essayé de persuader parce qu’elle a toujours cru qu’ils ont encore la Nature. Cependant, la Nature n’existe que dans une famille avec des ordres personnels. Pour la famille d’Œdipe, le mariage d’Œdipe et Jocaste est inceste, sans parler de la Nature de leurs deux enfants. Donc, tirer les deux dans le palais de leur naissance est retourner à l’origine de la haine. La haine des deux a commencé quand ils sont nés, et Jocaste, comme leur mère, est la source de leur péché et aussi le plus grand péché. Quand elle ne peut pas les persuader, elle comprend qu’elle ne doit plus avoir pitié de son sang, et elle doit aussi se tuer pour mettre fin à cette tragédie. Elle se pend à la fin du cinquième acte.

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