La rupture entre Robinson et Madelon

Il s’agit de la rupture entre Robinson et Madelon. Dès la première page, l’amour est présent. L’amour est le plus souvent synonyme de rupture, de déception. Dans ce passage, on assiste à la rupture de Robinson et Madelon.

Que révèle ce passage sur les deux personnes secondaires Robinson et Madelon ?

Ce passage met en lumière le portrait de Robinson. Le portrait de Madelon. Dénonciation de l’impossibilité de se comprendre. Madelon ne comprend rien à ce que veut dire Robinson. La première phrase et une phrase narrative.

I. Situation de crise

 conflit amoureux

A. Tension qui s’organise entre les deux personnages

 pronoms personnels « je », « tu »

 phrases exclamatives

 emploi de terme évaluatif

 recours à des formules hyperboliques

 formules / phrase redondante

 Robinson porte un trait à l’adversaire

 Relance phatique

 Rejet de l’échec amoureux (ligne 14-15)

 Le ressassement est traduit par des redondances

Il réutilise les arguments de Madelon contre elle. Robinson fait pour dérisoire. Les propos de Madelon sur sa colère. A la ligne 35 se trouve une question rhétorique.

B. Pas de communication

Madelon ne comprend rien de ce que cherche à dire Robinson. Elle interprète tout au premier degré.

- question oratoire

- généralisation

Elle relance Robinson. On comprend toute la mesure de la grossièreté de Madelon. Dans la dernière réplique, Robinson baisse les bras.

C. L’expression d’un dégoût existentiel

 ligne 6-7 : pronom indéfini « tout »

 dégoût profond

 redondance : « répugne », « dégoûte »

 renforcement de l’idée

 dénonciation générale

 refus du faux s’emblant

 amour première cause de son indignation

 ligne 26 : « t’y tien quand même toi d’y… »

 rappelle argument-argument

 référence à toutes les expériences qu’on vécu Robinson et Bardamu

 dénonciation de la nature humaine

 ligne 30 : « viande pourri » ; « sauce à la tendresse »

 homme torturé

D. Annonce la fin du roman

 ligne 2 : « à la fin » -> référence à la fin du roman

 la dispute = élément de résolution

 situation finale : coup

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