La parure, Guy de Maupassant

Le malheur est parmi l’une des plus grandes difficultés que l’on puisse vaincre et a été la chute de plusieurs. Dans La parure, écrite par Guy de Maupassant en 1884, il parait que Mathilde Loisel est une femme misérable. Elle a l’impression que la vie l’a trompée en ne recevant pas toutes les merveilles qu’elle a à offrir. Cependant, est-il juste de dire que Mathilde Loisel est une femme malheureuse? Certes, cette histoire livre plusieurs éléments qui tentent de répondre à cette question. Toutefois, il est approprié de dire que Mathilde Loisel est une femme triste, mais seulement avant la perte du collier. Après, la tristesse fait place à d’autres émotions. Dans l’optique d’essayer d’apporter des éléments pour répondre à cette question, Maupassant révèle des aspects sur 1. le statut social de Mathilde et 2. les nouvelles émotions établies suit à la perte du collier.

Dans un premier temps, dans La parure, Mathilde Loisel vouloir de vivre une vie riche, dans une classe sociale élevée, la rendent très insatisfaite. La classe moyen que Mathilde vit n’est pas suffisant. En effet, en passant ses longues journées malheureuse à la maison, la seule façon d’y faire face est de vivre dans son monde de rêve; où elle s’imagine d'être enviée et admirée seulement pour être attirante, comme le prouve l’extrait suivant : «Elle songeait aux grands salons vêtus de soie ancienne, aux meubles fins portant des bibelots inestimables, et aux petits salons coquets, parfumés, faits pour la causerie de cinq heures avec les amies les plus intimes, les hommes connus et recherchés dont toutes les femmes envient et désirent l’attention ». De plus, Mathilde veut être si somptueux qu’elle se rend jalouse de son amie riche, Madame Forestier, parce qu’elle possède toutes les choses qu’elle veut si mal, mais ne peut jamais en avoir, comme Maupassant l’explique : «Elle avait une amie riche, une camarade de couvent qu’elle ne voulait plus aller voir, tant elle souffrait en revenant ». Dans un même ordre d’idée, le mécontentement de Mathilde à l’égard de sa vie, simple et déterminée, l’amène à être en conflit avec ce qu’elle veut et ce qu’elle a établi. En effet, Maupassant transmet cela dans plusieurs façons tout au long du premier paragraphe. Mathilde est décrite comme : « [...] une de ces jolies et charmantes filles, nées, comme par erreur du destin, dans une famille d’employés. Elle n’avait pas de dot, pas d’espérances, aucun moyen d’être connue, comprise, aimée, épousée par un homme riche et distingué; [...] ». L’auteur décrit comment elle souffre de son style de vie dans une classe moyenne. L’avenir de Mathilde n’est pas dans ses propres mains, sa qualité de vie dépend de sa famille et de son mari. En outre, une grande quantité du malheur de Mathilde vient du fait qu’elle semble destinée à une vie de riches et de luxe. Comme le démontre l’extrait suivant : «Elle fut simple, ne pouvant être parée, mais malheureuse comme une déclassée; car les femmes n’ont point de caste ni de race, leur beauté, leur grâce et leur charme leur servant de naissance de famille ». Le narrateur suggère que les regards et le charme font la femme et non la bonne naissance. Donc, une femme jolie pourrait être égale a les plus grandes dames. Ceci est-ce que Mathilde sent pour elle même; c’est pourquoi elle est tellement misérable, elle a l’apparence d’être une femme meilleure que la plupart. Bref, il est donc exact de dire que le mécontentement de Mathilde envers son statut social la rend plus insatisfaite avec sa vie réelle. En conséquence, elle devient plus concentrée sur ce qu’elle n’a pas plutôt que sur ce qu’elle a.

Dans un deuxième temps, dans La parure de Maupassant, Mathilde établit des nouvelles émotions suite à la perte du collier; ce qui a changé la cour de sa vie. En effet, Mathilde devient rapidement très découragée lorsque son désir d’une vie riche termine par la blessée. Ses désirs incontrôlables

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