LaDissertation.com - Dissertations, fiches de lectures, exemples du BAC
Recherche

La nouvelle fantastique cas

Dissertation : La nouvelle fantastique cas. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  11 Septembre 2016  •  Dissertation  •  1 723 Mots (7 Pages)  •  682 Vues

Page 1 sur 7

Rossignol                                                                                                                                                 4èmea

Charles                                                                                                                                       le 22/02/14

La nouvelle fantastique

Note :

Observations :

Il y a quelques années de cela, mes parents achetèrent une vielle bâtisse, magnifique du XVIIIe siècle, pour une bouchée de pain, toutefois il a fallut la retaper. Le vendeur était un vieillard paranoïaque et apparemment un petit peut dérangé du bocal. Il nous mis en garde de ne jamais sortir de la maison une horrible toile, à vous générer des sueurs froides dans  le dos, une peinture du même siècle que l’habitation qui représentait le premier propriétaire de notre nouveau bien. Ce portrait nous informait que le vendeur n’était pas le seul dérangé de cette famille, le personnage était vêtu de ses habits du dimanche (enfin si il en avait), la tête penchée sur le côté, avec un filet de bave qui dégoulinait de sa bouche et des yeux si globuleux, ronds et bleu (dommage d’avoir gâcher des yeux si bleu comme la mère caspienne) qu’on avait l’impression qu’il allait nous sauter dessus.  

Un beau jour de nettoyage de printemps, ma mère retomba sur la peinture elle lui fit si peur en la tirant du placard qu’elle hurla plus fort à faire trembler la maison que si elle avait vu une araignée bien velue. Mon père accourût aussitôt demandant ce qui s’était passé mais ma mère répondit que tout allait bien. Elle m’appela et me demanda de sortir immédiatement le portrait ; dans la maison tout le monde, même ma sœur avait oublié la mise en garde…

La nuit suivante, nous avions affreusement mal dormi, chacun était pourtant dans sa chambre et pour une fois ce n’était pas moi qui jouais des tours. Le lendemain, comme c’était le week-end, ma mère m’avait autorisé à inviter un camarade.

Je lui avais parlé de la toile et il voulait absolument la voir alors je lui dis que nous irions le lendemain. Après une seconde nuit mouvementée, pour moi comme pour mon ami, nous sommes allés voir le portrait.

Mais stupéfaction, là ou j’avais placé je tableau, plus rien. Je suis allé demander à ma mère si elle ne l’avait pas déplacé mais elle me répondit :  

« - jamais je n’aurais retouché à cette … ‘‘chose’’.

À ce moment là mon ami se mis à me questionner de mille et une choses :

-Tu me joues une blague là !?

  Ce n’est pas vrai ?

  Où peut-elle être ??

  Est-ce une force mystérieuse qui la déplacée ?  

-Non, non absolument pas ! »

Puis ma mère repartie aménager ce fameux placard. Et prise d’un vent de panique elle sorti en courant de la maison, je suis allé voir la cause de toute cette agitation.

Puis apercevant une boiserie très ancienne je reconnus la peinture et compris la panique de ma mère. Je ressortis pour la seconde fois la peinture de son antre. Mais il manquait le personnage. Mon ami perdit totalement sa confiance en lui lorsqu’il aperçût la peinture vide de son personnage.

« -O…o..o.on dirait la peinture de ‘‘Mjuez le sale’’ un ennemi de mon arrière arrière       arrière grand père je reconnais l’arrière plan. On l’appelait ‘‘le sale’’ car il était fou et  refusait catégoriquement de se laver. Il faillit faire sauter le village natal de mon ancêtre.

-Et qu’est-il devenu ensuite ?

-mon aïeul l’a fait enfermer. Mais juste avant sa mort  il a appelé un peintre et un prêtre pour demander pardon et pendant qu’il demandait pardon le peintre le peignait. En sortant, le prêtre a dit que Mjuez était un malade mental, puis le fou est décédé quelques heures plus tard… »

Cette discussion nous pris tout l’après midi, nous sommes allés souper puis nous coucher. Nous passâmes de nouveau une nuit effroyable, le vent qui fait craquer la maison de fond en combles, le tonnerre, des pas, les lits qui s’affaissent comme sous le poids de quelqu’un, et tant d’autres choses.

Le lendemain, nous sommes allés jouer dehors et stupéfaction, la maison était comme engloutie sous les ombres de tous ses côtés. Nous n’y fîmes pas attention et lorsque vint la fin du séjour de mon camarade, il reparti chez lui sans se soucier de rien. Malheureusement pour lui, et sa famille, ils étaient maintenant enchainés à la malédiction. Sa famille gouta aussi aux nuits  sans sommeil.

...

Télécharger au format  txt (8.7 Kb)   pdf (40 Kb)   docx (11.9 Kb)  
Voir 6 pages de plus »
Uniquement disponible sur LaDissertation.com