La bataille d'Hernani Victor Hugo

Les romantiques sont admirateurs de Shakespeare et ont pour modele ce grand dramlaturge anglais ce qui revient a sopposer a toutes les regles du theatre classique regle des trois unites. On ne choisiera desormais plus obligatoireement le sujet chez les classiques romains ou grec et chez les roios et reines

De plus les romantiques sotaurisent le melange du comique et du tragique s’opposant ainsi au theatre classique

Voila qui va scandaliser les partisants du classique, les bourgeois au cranes rasés : « N’était il pas tout simple d’opposer la jeunesse a la décrépitude (dechenance physique qui provient dune tat de vieilesse extreme), les crinieres aux cranes chauves, l’enthousiasme a la routine, l’avenir au passé ? »

Ecrira theophile gautier

Des les premiers mots de la piece le 25 fevrier 1830 au soir eclate la bagarre, les prix de protestation houleux que n’arrive pas a reprimer « la bande d’hugo » , comme gautier se plait a appler les romantiques. La passion l’emporte, les uns hurle, trépignent d’indignation, les autres applaudissent, loue, s’enthousiasme. Les classiques refusent donc es eithetes mais ne supportent pas non plus les metaphores les comparaisons « en un mot le lyrisme » comme le resumera bien gautier. Le soir de la fameuse bataille theophile gautier qu’il sest fait faire tout specialement par son tailleur pour cette occasion. Et si vous ne voyez pas ce que cela avait dextraordinaire a l’epoque, l’ecrivain se fait un plaisir de vous l’expliquer avec humour : « Qui connait le caractere francias conviendra que cette action de se produire dans une salle de spectacle ou se trouve rassemblé ce que l’on appelle les tout paris avec des cheveux aussi long que ceux d’albert durer et un gilet aussi rouge que la muleta d’un torero andalou exige un autre courage et une force d’ame que de montrer a l’assaut d’une redoute herisser de canon et vomissant la mort. »

Gautier a assisté a 30 representation. La triomphe d’hernani gautier n’a pas pu nous le raconter le manuscrit s’interompt la. L’ecrivain malade et epuisé n’a ou le reprendre et le terminer

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