La Parure

Troisièmement, dans «la parure», Maupassant fait réfléchir les lecteurs grâce à ses personnages lorsqu’il les décrit. En effet, au début de son œuvre, celui-ci décrit Mme Loisel et il utilise 2 verbes s’opposant et se répétant ce qui porte à faire réfléchir le lecteur sur l’importance de l’argent dans la vie des gens. Dans les deux premières pages de la nouvelle, le verbe «souffrait» est répété à deux reprise tandis que le verbe «songeait» est, lui, répété à quatre reprise ce qui a pour effet de relié très étroitement ses deux verbe qui s’opposent et d’ainsi créer une importance aux énumérations qui décrit le quotidien de Mathilde ou des choses auxquels elle songe et dont elle est privé. Effectivement, ses deux verbes sont étroitement reliés puisque les causes de sa souffrance sont directement reliées aux choses auxquelles elle songe, c'est-à-dire le luxe et la richesse dont elle est privée. De plus, Maupassant utilise la narration afin de faire réfléchir le lecteur en se demandant ce qu’il serait advenue du couple si l’argent et le statue sociale n’aurait pas été mis en avant plan pour cette soirée. Effectivement, Maupassant utilise dans sa nouvelle un narrateur absent afin de faire réfléchir en posant une question sans réponse : « Que serait-il arrivé si elle n’avait point perdu cette parure? […] Comme il faut peu de chose pour vous perdre ou vous sauver!». Nous pouvons en effet voir que Mme Loisel qui était tellement obséder par le luxe et l’apparence en a oublier l’amour que lui portait son mari qui, après qu’elle ait perdu le bijou, à tout sacrifier pour elle afin de payer sa dette. En fait, le narrateur ici démontre le pouvoir de l’argent puisque lorsqu’on en possède, l’amour règne tandis que si on en manque, cela cause des frustrations dans le couple. Cependant, lorsqu’on perd tout et qu’il faut alors travailler dure pour survivre, on cesse de se préoccuper des apparences comme Mme Loisel à la fin du récit qui doit maintenant travailler dure afin de rembourser le bijou perdu qui était en faire un faux. Bref, l’auteur amène les lecteurs de son œuvre à réfléchir sur l’importance de l’argent par ses personnages et sa narration.

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