La Parure

Maupassant démontre une vision vraisemblable de la réalité qu’il a ciblée, c’est-à-dire, la société bourgeoise à la fin du XIXe siècle. Les valeurs bourgeoises de cette époque sont présentées dans la nouvelle « La parure » de différentes manières évoquant la vraisemblance du récit. Tout d’abord, l’auteur utilise le terme « rivière de diamants » (p.164), afin décrire le collier que Mathilde emprunte à Mme Forestier pour aller à la soirée. De cette façon, Maupassant démontre que cette parure n’est pas seulement un objet ordinaire pour Mme Loisel. À l’inverse, il représente la haute bourgeoisie, la classe sociale qu’ elle désire tant appartenir. Comme toutes les femmes de cette période, Mathilde n’as pas d’autres pouvoirs que celui de la beauté et de son charme afin de gravir les échelons de la hiérarchie sociale.

De plus, la vraisemblance de l’histoire est également évoquée par l’identification de lieux réels. Tout au long du récit, Maupassant utilise des lieux tels que : « plaine de Nanterre » (p.163), « rue des Martyrs » (p.165), et « Champs-Élysées » (p.170). Ces endroits sont réels et se trouvent dans la ville de Paris, où se déroule la nouvelle. L’énumération de ces lieux, qui étaient présent à la fin du XIXe siècle, démontre la vraisemblance de la nouvelle.

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