La Parure

Le récit narratif est chronologique et collabore à la vraisemblance du récit.

Marqueurs temporels : « un soir, » « le 18 janvier. » p.162 « Le jour de la fête approchait, » p.163 « Le lendemain, » p.164 « Le jour de la fête arriva. » p.165 « A u bout d’une semaine, » p.168 « Et cette vie dura dix ans. » p.169 « Au bout de dix ans, » « Un dimanche, » p.170 Les laps de temps, les périodes et les durées sont réalistes (dix ans pour rembourser, une semaine d’attente pour essayer de retrouver la parure, etc.) et les changements sont bien fixés et ciblés par les marqueurs. D’une manière générale, cela a pour effet de mettre au point un récit qui « cadre » dans le temps, ce qui est très important pour un auteur réaliste.

Troisième argument principal

Maupassant inclut une image des valeurs dans « La parure » présente une vision frappante et étonnante de la réalité en nous montrant différents actes révélateurs.

Argument secondaire Illustration Commentaire explicatif

Maupassant opte pour des passages qui font réfléchir et adopte un vocabulaire afin d'atteindre son lecteur.

L’écrivain emploie des énonciations symboliques et des mots illustrant la misère de cette époque. Mme Loisel songeait : « Elle songeait aux grands salons vêtus de soie ancienne,…] elle songeait aux dîners fins, aux argenteries reluisantes,…] elle songeait aux plats exquis servis en des vaisselles merveilleuses, …] p.161

« descendait rapidement l’escalier. » « jusqu’à leur porte, rue des Martyrs, et ils remontèrent tristement chez eux. » p.165-166 Le décalage vécu par Mathilde entre le désir et la réalité expose bien l’image et les valeurs matérialistes de cette époque ce qui fait réfléchir. Elle aurait préféré être une dame de haute bourgeoisie que de faire semblant de bien paraître.

Ici, Maupassant

Argument secondaire Illustration Commentaire explicatif

L’écrivain instruit les lecteurs sur les biens et valeurs de cette époque. « Oh ! ma pauvre Mathilde ! Mais la mienne était fausse. Elle valait au plus cinq cents francs !...» p.171 La fin de cette nouvelle a pour but de nous faire réfléchir sur le fait que Mathilde a gâché une partie de sa vie pour un court instant de bonheur. Aussi cette fausse parure peut nous faire changer de classe sociale. Bref, pendant cette époque, les pauvres ou bien les gens de basse classe sociale voulaient bien paraître.

Ici, le point d’exclamation renforce le caractère émotif de la surprise et de la tristesse de Mathilde et de Mme Forestier.

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