La Conditions Des Grands

L’extrait de texte étudié est Trois discours sur la condition des grands de Pascal écrit en 1670. C'est un texte polémique dans lequel Pascal se place contre les aristocrates qui selon lui occupe une place illégitime. Dans quelle mesure le moraliste remet-il en question la société de son temps?

Le texte de Pascal fait le procès des grands, des aristocrates.

Ce texte fait penser à un réquisitoire à l'encontre des aristocrates, de par les nombreux arguments affichés par le moraliste, qui montre que l'objectif principal de ce réquisitoire est de faire comprendre aux aristocrates que leur place est illégitime. Premièrement,on y voit que c'est réellement le procès des grands de part les nombreux verbes à l'impératif qui y sont employés comme « faites » ligne31 ; puis il y à beaucoup de négation entre les ligne 25 et 28 ce qui montre que pour le moraliste leurs place est injustifié. Ensuite, Par la phrase qui s'étend de la ligne 17 à la ligne 19 où l'homme « reconnaissait son état véritable, et que ce n'était que le hasard qui l'avait mis en place là où il était » il veut implicitement faire comprendre aux aristocrate l'objet de sa démonstration.

Par ailleurs, à la fin de son discours l'auteur se moque des aristocrates étant donné qu'ils pensent légitime il leurs montre que ce n'est pas leurs place.

On peux donc en conclure que ce texte est un véritable texte accusateur contre les aristocrates qui occupe une place usurpatoire et qu'ils se croient ayant plus de valeur que le peuple alors que leurs places et immérité.

Le raisonnement de Pascal est renforcer par plusieurs chose.

D'abords, on peut relever beaucoup de négations de la ligne 25 à 28, ce qui montre qu'il insiste sur le fait que leur position est injuste. Mais on peut aussi relevez bon nombre de verbes à l'impératif ce qui certifie que le moraliste ne veut laisser aucun doute . Ainsi il image son discours de la ligne 3 à la ligne 21 ce qui est une argumentation indirecte pour que son propos soit plus efficace car il capte l'attention des lecteur( qui sont obligatoirement des aristocrates car à l'époque personne ne pouvait s'acheter des livres à part eux) .

Dans le derniers paragraphe l’auteur s’attache à faire comprendre par diverses moyen aux aristocrate que leurs position n’est pas due à leurs qualités mais plutôt au hasard des naissances. Entre autre, on peut relever de la ligne 28 à 30 « vous vous trouvez au monde par une infinité de hasard » on peut donc en déduire que leur place y est aussi dû. Mais il y a une grande insistance sur le champs lexical du hasard, pour bien faire comprendre l'objet de sa démonstration. Le mot clé de sa démonstration est le mot « hasard ». On peut aussi relever le passage « par le moindre hasard » à la ligne 27, ce qui est un contradiction et il l'utilise pour renforcer son argumentation. En réalité il veut dire que c'est par le hasard s'ils sont à leur place. Dans sa dernière phrase, « D'une visite faite par rencontre, d'un discours en l'air, de mille occasions imprévues », l'auteur fait preuve d'ironie pour maquer le lecteur.

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