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La Bruyère Les Charactères

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Par   •  11 Janvier 2012  •  1 074 Mots (5 Pages)  •  2 158 Vues

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Les Caractères

La Bruyère

L’auteur :

La Bruyère est du 17ème siècle ( 1645 – 1696 ), issue d’un milieu bourgeois, il fait des études de droit et devient alors avocat puis conseiller des finances. Il va devenir précepteur du Duc de Bourbon qui est le petit fils d’un des personnages des plus puissant, le Grand Condé. Grâce à cela il analyse son entourage. En 1688, il écrit Les Caractères, son œuvre est composé de maximes et de portrait.

Analyse du texte :

L’Homme est monomanique. La Bruyère critique cela, il passe à côté de sa vie. Au 17ème, l’éxcès est critiqué. L’Homme ici dépeint , est passionné par ses tulipes.

Le curieu est quelqu’un qui est attaché a quelque chose .

Dans la 1ere partie du texte, il parle de la curiosité en générale, quant à la 2ème, il va illustré sa définition par un portrait du fleuriste. Ce qui va nous composé 2 grandes parties du plan dans la méthode suivit.

I / La curiosité , paragraphe 1

La Bruyère, critique sur la curiosité le long du paragraphe. Il dit que la curiosité n’est pas l’attrait pour ce qui est beau mais pour ce qui est à la mode (ligne 2 à 3). Critique le sentiment de vanité, d’orgueil « ce qu’on a et que les autres n’ont pas. Attachement à quelque chose d’inutile « par la petitesse de l’objet ». Critique l’éxcès, sentiment trop fort de la curiosité, ligne 4. Au 17ème, la passion est trop percu comme trop violente pour l’être humain et donc fait tomber dans l’éxcès. La curiosité est un sentiment aussi fort que l’amour et l’ambition. L’amour c’est consacrer sa vie a une personne , et l’ambition dans la société s’accepte , se comprennent, contrairement à la curiosité qui se consacre entièrement à quelque chose de ridicule.

Il y a un parrallélisme de construction « Ce n’est pas .. mais...» , qui entraine une dévalorisation de la curiosité supplémentaire. Ce parrallélisme permet a La Bruyère d’appuyer tout ce que n’est pas la curiosté. Au fil des phrases, La Bruyère rend l’objet de la curiosité ridicule, dérisoire.

On peut tous tombé dans cet excès, il fait le procès de l’excès de l’être humain en générale. Il utilise le présent de vérité générale, ce qui rend sûr ses propos.

II / Le portait du curieu, paragraphe 2

Il y a une métaphore qui associe l’être avec la fleur, il devient tulipe « vous le voyez planté et qui a pris racine ».

Il assimile les fleurs à des femmes avec les noms de fleur, « il ne la jamais vu si belle ». Sa vie affective est réduit à néant, les fleurs ont remplacé les femmes. . « Il revient à la Solitaire » , fais penser qu’il revient a sa solitude, cette fleur donne l’image de sa situation.

Il dit « Le fleuriste » pour faire un portrait générique, pour que les gens puissent si reconnaitre.

« il y court au lever du soleil il en revient à son coucher. » C’est un parrallélisme qui montre qu’il y passe sa vie, il accentue l’effet de dépendance donné par l’auteur. « Il y court » ; il en perd sa liberté. L’énumération d’action

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