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La Belle et la Bête.

Commentaire de texte : La Belle et la Bête.. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  7 Décembre 2016  •  Commentaire de texte  •  592 Mots (3 Pages)  •  2 215 Vues

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I-Un monstre au grand cœur

A) Un compte de fée : le pacte féérique

Le genre du compte de fée repose sur un pacte féérique qui est passé entre le compteur et le lecteur.

Ex : Le nom des personnages n’obéissent pas à une règle de vraisemblance : la Belle et la Bête sont des figures symboliques et non de personnage réaliste

Par ailleurs le compte est un genre de récit où les animaux, ici la Bête à la qualité d’être humain, la 1er étant la sensibilité, comme le révèle le dernier paragraphe.

Enfin le narrateur invente des personnages et des situations extrêmement condensé pour permettre au lecteur de s’identifie à cette univers.

Le Psychiatre Bruno Bettelheim indique « Les personnages de compte de fée, ne sont pas ambivalent ; comme nous le somme tous dans la Belle et Bête sont des personnages très pure « La Belle, ce voyant seul sentit une grande compassion pour cette pauvre Bête »

B) Un compte construit sur l’opposition

L’opposition entre la Belle et la Bête est claire depuis le titre. En effet c’est par opposition physique que le comte est nommé, d’ailleurs les personnages sont même réduits à leur physique : une partie d’eux même les définies tout entier.

Ensuite les chants lexicaux de la beauté et de la laideur sont deux grands piliers de nôtre extrait : « Le monstre », « figure épouvantable », « Laide », « belle »…

La remarque final de la Belle énoncé sous la forme d’une antithèse « si laide, si bonne » montre bien que la rencontre entre les 2 personnages à permis de remettre en cause la loi de l’apparence

II-Un comte doublement implicite

A) Une morale implicite

Ce compte est porteur d’une morale implicite. La tendresse et la vertu du monstre ce révèle tout au long du dialogue, ce qui encourage la belle a ce détacher de se préjuger. Le narrateur choisi de nous donner à lire les pensées et sentiments de la Belle, « Elle n’aurait presque plus peur du monstre » L-15, « Mais la Belle fût bientôt rassurer » L-22. Cette technique incite le lecteur à s’identifier à la jeune femme.

Le registre pathétique devient alors prédominant, ainsi ce dialogue permet de réfléchir plus généralement sur le rapport de l’homme à autrui. La compassion éprouvée par la Belle peut être un exemple, son ouverture d’esprit et sa sensibilité atteste de la possibilité pour tous les hommes de se débarrasser de préjugés tenasse.

B) Un comte destiné implicitement aux adultes

Le comte est un genre littéraire destiné en priorité aux enfants depuis le XVIIe, la construction de l’histoire et des personnages est volontairement sommaire et symbolique, il ya une division manichéenne des personnages permettant au jeune publique de s’identifier au héros présenter. C’est ce que Bettelheim nomme « l’identification positive ». La lecture du comte peut être ainsi considérée comme une étape importante dans la construction de l’enfant, cependant la Belle et la Bête ne se réduit pas à une porté enfantine. C’est en effet un comte qui aborde des questions

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