L.A. À Une Passante De Baudelaire
Rapports de Stage : L.A. À Une Passante De Baudelaire. Recherche parmi 298 000+ dissertationsPar Aresredge • 16 Mai 2014 • 859 Mots (4 Pages) • 1 050 Vues
L.A. « À une passante » de Baudelaire
Introduction : (structure + présenter auteur)
-sonnet de B extrait des Fleurs du Mal (2e édition → 1861)
-dans partie « Tableaux parisiens » où B peint les scènes de la vie quotidienne, scènes prises souvent sur le vif.
-dans le poème, il évoque une rencontre aussi inattendue que violente
-il propose l'image d'une femme belle et mystérieuse qu'il perçoit de manière éphémère.
-il voue cette rencontre à l'échec avant même qu'elle ait pue commencer
-En quoi et pourquoi ce poème illustre-t-il l'échec d'une rencontre amoureuse ?
I . La violence de la rencontre
a) le contexte de la rue
-univers urbain : titre + « Tableaux parisiens »
-B voit « une passante » aperçue dans Paris.
-propre vision de la ville → péjorative
-contexte agressif
@vacarme
#vers1 : personnification de la rue
#assonances en « u ; ou » et les allitérations en « r ; s » qui renforcent l’impression d’un vacarme intolérable.
@idée d'enfermement
#expression « autour de moi » au milieu de deux termes relatifs au bruit : « assourdissante » et « hurlait ».
b) la violence du « coup de foudre »
-rencontre : véritable choc
#« un éclair... puis la nuit ! » : antithèse : violence de la vision résumée ici.
*lumière fulgurante et brutale de « l’éclair »=/= noir et l’obscurité totale du mot « nuit » : B éblouie et aveugle
*impression confirmée : adverbe « puis » + points de suspension → succession des événements dans le temps, l’un étant la conséquence de l’autre.
*violence : ponctuation : exclamation.
*« nuit » à césure + pause par un tiret → en relief et insiste sur le vide, le néant après éblouissement.
-violence latente pour rencontre mais aussi esprit du poète + ce qu'il perçoit dans regard de la femme → dans recueil : tensions entre 2 points extrêmes (bien et mal, vie et mort, amour et violence)
#« extravagant ; ouragan ; tue ; soudainement ». L’écriture baudelairienne, dans Les Fleurs du
II . L’image de la femme.
a) la beauté de la passante
-passante : apaisement au milieu du tumulte
-description de passante : 1er strophe (vers 2-3-4), 2e strophe (vers 1)
@beauté + silhouette longiligne
#adjectifs « longue » et mince ».
# « avec sa jambe de statue » :métaphore : femme → oeuvre d’art → en relief sa beauté parfaite, sculpturale.
@grâce (légèretés des mouvements) et noblesse
#groupes syllabiques vont croissant → pas cadencé + noblesse de la démarche
#« soulevant, balançant ; agile »
@détails tenus vestimentaires
*élégance : « le feston et l’ourlet »
*« fastueuse » : raffinement, richesse
*« en grand deuil » : habillée de noir : distinguée et digne d’une reine : « majestueuse ».
b) une femme mystérieuse et duelle
-charme → mystère
@ni
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