L.A. « A une passante » de Baudelaire, Les Fleurs du Mal, Tableaux parisiens, 1857
Analyse sectorielle : L.A. « A une passante » de Baudelaire, Les Fleurs du Mal, Tableaux parisiens, 1857. Recherche parmi 298 000+ dissertationsPar clo.ee • 29 Décembre 2014 • Analyse sectorielle • 529 Mots (3 Pages) • 1 263 Vues
L.A. « A une passante » de Baudelaire, Les Fleurs du Mal, Tableaux parisiens, 1857.
I – La rencontre amoureuse avec une passante.
a) le contexte de la rencontre
b) la description de la passante
c) rencontre évoquée avec une forme poétique revisitée
II – Réaction du poète.
a) la présence affirmée du poète
b) l'expression du coup de foudre
c) le regard de la passante
III – L'échec de la rencontre.
a) annonce de l'échec (évocation de la nuit qui suggère l'absence de la passante, elle est passée)
b) échec (évocation de la mort, il ne la reverra certainement plus jamais)
c) invocation finale (dernier vers), pas de réciprocité
Problématiques : Qu'est-ce qui fait l'intérêt de ce poème ?
Comment se traduit la rencontre amoureuse dans ce poème ?
Quelles sont les différentes étapes de la rencontre ?
I – a) Décor rapidement mit en place « La rue », effet de mouvement « Soulevant, balançant » qui donne un rythme (le vers est cadencé de manière musicale), personnification de « hurlait », dès le deuxième vers on oublie le cadre de la foule, énumération d’adjectifs.
b) v.2 personnage émouvant, enveloppé de noir « en grand deuil », grande dignité « majestueuse ». Élégance morale « douleur majestueuse ». V.4 précision supplémentaire sur sa façon de marcher. Juxtaposition des deux participes présents « Soulevant, balançant » qui insiste sur l'élégance de la passante. V.5 adjectifs mélioratifs « agile et noble » → sorte de supériorité physique.
« Jambe de statue » : statue → marbre → froideur
→ métaphore méliorative → perfection
c) sonnet + alexandrins = traditionnels
1er quatrain = rimes embrassées
2ème quatrain = rimes embrassées
Normalement, on a une modification des rimes sauf qu'ici, on retrouve les mêmes.
→ « ourlet - hurlait », « renaître - peut-être », « extravagant – ouragan »...
Cela lui permet de revisiter la forme poétique.
Exemple de transition : Nous venons d'étudier l'importance de la rencontre dans ce sonnet. Nous allons maintenant pouvoir nous intéresser à la réaction du poète.
II – a) « Moi, je » v.6, « autour de moi » v.1
→ Moi = forme d'insistance qui permet au poète de se placer dans le panorama. C'est une forme tonique. Le « je » est une forme atone.
b)
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