Journal De Lecture L'école Des Femmes

Journal de lecture : L'école des femmes

ACTE I (lu le 20/12)

Dans cet acte, on découvre un peu les personnages et leur façon de penser. On comprend qu'Arnolphe va se marier avec Agnès, une jeune femme qu'il a fait élever dans l'ignorance totale afin de ne pas être trompé. Il discute de cette femme avec Chrysalde, qui semble être un ami. Enfin, on découvre Horace (le fils d'un très proche ami de Arnolphe, Oronte) amoureux d'Agnès. Ne sachant pas qu'Arnolphe est le futur mari de celle-ci, et donc celui qui l'a éloignée du monde extérieur, Horace avoue ouvertement son amour pour Agnès et sa détermination à l'éloigner de celui qui l'a élevée dans l'ignorance. Suite à ces révélations, Arnolphe ne lui dit pas qui il est réellement.

On découvre également Alain et Georgette, qui semblent être les servants d'Arnolphe.

Dans cet acte, j'ai bien aimé le personnage d'Agnès (même si elle n’apparaît que très peu) malgré le fait qu'elle représente le cliché des jeunes femmes ignorantes.

Je n'ai pas aimé le personnage d'Arnolphe car il méprise Agnès, se servant de son ignorance pour s'assurer qu'elle ne le trompera pas. De plus, je le trouve malhonnête car il n'a pas avoué à Horace que c'était lui qui avait élevé Agnès de la sorte. J'ai bien aimé Horace car je l'ai trouvé simple et honnête.

Dans cet acte, il y a une réplique qui m'a particulièrement plu : « Oui : mais qui rit d'autrui doit craindre, qu'en revanche, on rie aussi de lui ». C'est Chrysalde qui prononce ces mots pour faire comprendre à Arnolphe qu'il ne doit pas autant se moquer d'Agnès.

Les personnages d'Alain et Georgette m'ont fait sourire, je les ai trouvé comiques.

ACTE II (lu le 21/12)

Dans cet acte, on retrouve Alain et Georgette qui se font fâcher par Arnolphe, car ils ont laissé Agnès voir un autre homme en son absence, il leur ordonne alors de ne plus le laisser entrer. Alain et Georgette se demandent donc pourquoi Arnolphe est il si jaloux. Arnolphe va parler à Agnès, et lui fait avouer qu'elle a vu Horace pendant son absence. Agnès lui raconte qu'il est passé sous sa fenêtre et l'a saluée pendant quelques jours, puis qu'une dame est venu lui dire qu'elle avait blessé Horace car il était amoureux d'elle, et que le laisser la voir serait le meilleur remède. Elle avait accepté. Arnolphe s'assure que son rival n'a pas pris la virginité d'Agnès et propose à celle-ci de se marier avec lui le soir même pour qu'elle puisse avoir de l'amour sans pécher. Elle accepte. Arnolphe lui demande alors de ne plus voir Horace, et de le renvoyer quand il viendra la voir. Arnolphe lui dit également qu'il sera témoin de tout cela, caché dans un coin.

Dans cet acte, j'ai moins aimé Agnès car je la trouve vraiment trop naïve. Elle accepte de se marier avec Arnolphe seulement pour avoir de l'amour honnêtement.

Je n'aime toujours pas Arnolphe, qui profite toujours plus de l'insouciance d'Agnès. Il fait tout pour se l'approprier et écarter son rival. Il influence Agnès pour l'obliger à faire des choses qu'elle n'a pas envie de faire.

J'ai trouvé, comme dans l'acte précédent, Alain et Georgette comiques car ils se posent des questions naïves et y répondent entre eux par des exemples absurdes.

J'ai bien aimé la réplique d'Arnolphe : « C'est dommage : mais quoi ? Nous sommes tous mortels, et chacun est pour soi. » car je trouve qu'elle fait réfléchir, et j'ai du la relire plusieurs fois pour bien comprendre son sens.

ACTE III (lu le 23/12)

Dans cet acte, Arnolphe attend le notaire qui va le marier avec Agnès. Il essaye encore d'influencer Agnès contre Horace et lui fait lire des sortes de « lois » (des maximes) lui ordonnant de se soumettre à son mari.

Mais Arnolphe, en attendant le notaire, reçoit la visite d'Horace, qui se confie à lui. Il lui raconte que le valet et la servante (Alain et Georgette) n'ont pas voulu le faire entrer et que Agnès lui a jeté une pierre, comme pour le faire partir. En revanche, il avoue à Arnolphe que, sur cette pierre, Agnès lui avait adressé un message : une lettre qu'elle lui a fait parvenir ainsi pour la cacher à son maître revenu. Il lui lit alors la lettre, dans laquelle Agnès dit qu'elle aime Horace et qu'elle s'est rendu compte de la mascarade de son maître pour la garder ignorante. Arnolphe est en colère et veut se venger.

Dans cet acte, j'ai beaucoup aimé Agnès, car on apprend qu'elle cache son jeu depuis le début et qu'elle n'est pas si naïve qu'elle veut le faire croire à Arnolphe. De plus, elle trouve un stratagème pour parler à son amant

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