Journal De Lecture Grand Corps Malade Patients

MECHTA Yanis 3°1

Journal de lecture

Aujourd’hui mercredi 18 février 2015 après mon petit déjeuner, j’ai enfin trouvé la motivation de commencer mon livre sur le thème de l’autobiographie : Patients de Grand Corps Malade. Je me suis arrêté à la page 37. Je trouve ce livre vraiment très intéressant. Fabien (Grand Corps Malade) nous décris bien tous ce qu’il vit dans les moindres détails avec beaucoup d’humour. Je mesure la chance que j’ai d’être « valide », de ne pas être dépendant des autres et surtout de pouvoir aller et venir.

Aujourd’hui, jeudi 19 février 2015 avant de partir à mon entraînement, je lis 10 pages de mon livre. Dans ces 10 pages, Fabien insiste sur le fait qu’il est dépendant de ses aides-soignants et du personnel de son « Hôpital » et nous raconte toujours avec humour quelques anecdotes vraiment drôles comme quand un de ses amis lui demande de ne pas bouger le temps qu’il aille chercher quelqu’un et qu’il lui réplique qu’il avait prévu d’allé faire quelques pas chassés dans le couloir. J’ai vraiment envie de lire la suite du livre car j’aime vraiment la façon dont Fabien nous raconte ses petites anecdotes.

Aujourd’hui, vendredi 20 février 2015 avant d’aller me coucher, j’ai atteint la page 75. Fabien nous décris son meilleur Farid et nous apprend comment ils « nique des heures ». Ils font tout et n’importe quoi, un rien devient vite une activité qui peut durer des heures. J’ai trouvé ce passage très drôle. On a presque l’impression d’être à leurs places. On en oublie leur handicap.

Ce dernier week-end des vacances je me suis fixé comme objectif de terminer ce livre (une centaine de pages) qui me plaît vraiment beaucoup. Dans le dernier paragraphe chapitre on sent que Fabien reprend vraiment goût à la vie. Il ne s’apitoie plus sur son sort comme c’était le cas au début du livre, il est heureux. Il peut de nouveau marcher. Il a même repassé son permis et décide avec son ami Farid de retrouver un de ses compagnons de galère, Toussaint. Les retrouvailles sont vraiment émouvantes, on sent la complicité entre les trois personnages. C’est dans les plus mauvais moments que l’on fait les meilleurs rencontres. Fabien cherche aussi à reprendre contact avec certains de ses anciens aides-soignants. Il nous fait comprendre que ces personnes lui ont fait éviter le pire. Ce sont des icônes de courage.

Nous sommes dimanche 22 février 2015, je viens de terminer mon livre…

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