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Il est juste d’affirmer que, dans le roman Le Survenant, le bonheur réside dans le nomadisme.

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Par   •  3 Juin 2018  •  Dissertation  •  618 Mots (3 Pages)  •  1 124 Vues

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Étape 1 : Plan du développement

Il est juste d’affirmer que, dans le roman Le Survenant, le bonheur réside dans le nomadisme.

Argument principal 1

Le Survenant, qui est l’image du nomadisme, apporte le bonheur aux habitants du village.

Sous argument 1 : Angelina tombe en amour avec le Survenant.

Sous argument 2 : Il sort Didace de sa peine.

Sous argument 3 : Le Survenant rapporte de l’argent à la famille Beauchemin

Argument principal 2

Le nomadisme illustre la liberté et le savoir.

Sous argument 1 : Le Survenant est libre d’aller où il veut quand il veut et pour le temps qu’il veut.

Sous argument 2 : Il n’a pas de grandes responsabilités.

Sous argument 3 : Grâce aux multiples voyages, le Survenant est rempli de connaissances.

Étape 2 : Rédaction

Dans le roman Le Survenant de Germaine Guèvremont, il est juste d’affirmer que le bonheur réside dans le nomadisme. Ce mode de vie illustre la liberté et le savoir. Cette manière de vivre est représentée par le personnage principal tout au long du récit. En effet, il y a de multiples indices qui démontre que le Survenant est heureux de la façon qu’il mène son train de vie. Tout d’abord, ce dernier est libre d’aller où il veut quand il veut. Il n’y a rien qui le retient de partir ailleurs sur un coup de tête. « Mais arrivé au chemin, au lieu de se diriger vers la maison des Beauchemin, d’un pas alerte il prit la route de Sorel. » (p. 137, l. 29 à 31) Ce soir-là, le Survenant avait envie d’aller faire une promenade en direction de Sorel et il n’avait rien qui pouvait l’empêcher, car il n’a pas de grandes responsabilités comme Didace qui doit s’occuper de la terre.  

Par la suite, comme mentionné un peu plus haut, le Survenant n’a aucune grande responsabilité en raison de son mode de vie. Il n’a pas de terre, pas de maison, ni de famille à s’occuper. « […] la paillasse était intacte, personne n’y avait couché, la chambre telle que la veille au soir, sauf que les hardes du Survenant et son paqueton ne pendaient plus au mur. » (p. 195, l. 11 à  15) Du fait que le nomade n’avait aucune obligation, il a décidé de partir sans en glisser un mot à personne. En effet, il est libre de faire ce qu’il a envie sans avoir de lourdes répercussions.

Finalement, le personnage principal est rempli de connaissances. Grâce à ses multiples voyages, il a énormément appris. « Un jour, il découvrit dans le cabanon une vieille paire de raquettes qu’il voulut remettre en bon état. […] De qui c’est que t’as appris ça, Survenant? » (p. 117, l. 10 à 14) Malgré le fait qu’il n’y ait pas de chez-soi, ni de famille, se promener de village en village et de famille en famille l’a énormément instruit. Évidemment, il a acquis des connaissances manuelles, comme construire un canot, mais il a également beaucoup d’expérience, ce qui ajoute des connaissances de plus au niveau culturel.  

En conclusion, le roman de Germaine Guèvremont étudié dans ce travail démontre effectivement que le bonheur réside dans le nomadisme. En effet, il est clair que le personnage principal est heureux dans ce mode de vie par le biais de la liberté, de l’absence de grandes responsabilités et de ses expériences de vie qui l’habite. Il pourrait être intéressant de comparer la source du bonheur d’une personne sédentaire avec d’autres romans de la même époque comme Bonheur d’occasion de Gabrielle Roy.

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