Humanisme, mouvement litteraire

l’humanisme est un mouvement littéraire et culturel qui a dominé l’Europe au xvi siècle. ce mouvement met l’homme au centre de ses préoccupations

Montaigne, figure emblématique de la renaissance a notamment écrit une oeuvre grande majeur qui se nomme les essais. Cette oeuvre parle principalement de l’éducation, des maladies des progrès de la médecines mais Montaigne mêle aussi des réflexions sur sa propre vie et sur celle de l’homme en générale. nous allons étudier un extrait de cette oeuvre qui se nomme du repentir. Dans un premier temps, nous allons parler de l’individualité de l’homme et dans un second temps, nous étudierons le notion de mouvement

I- Des le début du texte, montaigne nous montre son opposition face aux autres. Nous pouvons le voir des le début du texte a la ligne 1, « les autres forment» mais aussi aux lignes 20 «les auteurs» et 21 «moi le premier» qui représente l’auteur. il y a un parallélisme entre la première personne du singulier «je» qui le représente et des «autres» qui représente les auteurs. Montaigne ne se montre pas orgueilleux, il dit même a la ligne une « bien mal formé », il montre qu’il n’est pas un modèle a imiter. Tout au long du texte, Montaigne utilise la première personne du singulier «je» il montre qu’il parle seulement de ses réflexions et il ne laisse pas la place a la pensée d’autrui. Montaigne nous montre que l’homme est au centre de l’univers. Il nous montre que c’est l’auteur et le sujet de cette oeuvre

Montaigne va aussi faire un portrait, nous pouvons le voir grâce au champs lexical de la description « je récite » a la ligne 1, « représente » a la ligne une, a la ligne 3 « peinture » « peins » ligne 8. Des le début du texte, il y a une opposition entre « forment » et récite » a la première ligne. Ils nous montrent le rejet de la démarche didactique, c’est a dire le rejet de l’instruction du savoir.

Montaigne se qualifie comme un être universel. a la fin du texte, a la dernière ligne « si le monde se plait de quoi je parle trop de moi, je me plains de quoi il ne pense seulement pas a soi » cette antithèse nous montre qu’il ne fait pas preuve de nombrilisme

II- Le monde est en perpétuelle mouvement, Montaigne dénonce le fait que que le monde subit des changement d’ailleurs l’image du mouvement est présent dans l’ensemble du texte. Le polyptote est présent aux lignes 4 a 6 : « branloir, branle, branle publique L’auteur nous dit que le monde est instable, ils choisit des exemples massifs tels que la terre, les rochers du caucasse et les pyramides d’Egypte aux lignes 4 et 5, ils choisit des exemples habituellement immobile pour monter que le changement est présent partout et pour tout.

Montaigne fait aussi référence au découverte de copernic, ce qui montre aussi les progrès qui sont fait grâce a l’homme, il fait donc référence a l’humanisme. a la ligne 6 Montaigne dit la constance même n’est autre chose qu’un branle plus languissant, il montre l’immobilité

Montaigne parle aussi du temps, que le changement est du au temps; Il y a donc des indications temporelles

a la ligne 9 « de sept en sept ans, de jour en jour, de minutes en minutes » a la ligne 10, il parle de l’heure « mon histoire a l’heure » on peut voir ce

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