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Fiche de lecture d'Eward Twitchell Hall

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Par   •  4 Juillet 2017  •  Fiche de lecture  •  1 402 Mots (6 Pages)  •  618 Vues

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Biographie : Edward Twitchell Hall est un Américain né le 16 mai 1914 à Webster Grove dans le Missouri et est mort en 2009, c’était un anthropologue et un spécialiste dans l’interculturel. Il a reçu son diplôme de docteur de philosophie à l’université de colombia en 1942.  Ce qui lui a donné l’envie d’écrire sur la perception de l’espace est la seconde guerre mondiale. Il a pu aussi donné cours dans plusieurs universités des Etat Unis.

Le principal thème est la « proxémie » qui signifie la globalité des observations et des théories que fait l’homme de l’espace. Lee whorf nous apprend que le langage est l’élément principale de la formation de nos pensées, qu’il définissait la perception qu’il avait de son environnement et qu’il pouvait s’appliquer sur tous les phénomènes de la culture. L’expérience ne peut donc pas être une référence de la communication. D’un pays à l’autre, les mondes sensoriels diffèrent, comme l’olfaction et le touché, suivant les cultures ses sens seront plus ou moins développés et plus ou moins bien interprétés. La communication passe du conscient a l’inconscient, en effet quand des individus communiques, ils n’échangent pas que des paroles, ils sont aussi sensibles à l’attitude et aux réactions physiques. Nous réalisons alors l’importance de la communication.

Les études sur les animaux permettent d’apprendre comment les besoins de l’homme en espace varient en fonction de leur environnement. Qui ont un fort impact sur le comportement. Le concept de base chez les animaux et la « territorialité » qui permet à l’organisme de prendre possession d’un territoire et le défendre même contre les membres de sa propre espèce. Néanmoins la territorialité existe aussi chez l’homme, on peut donc admettre que la territorialité est propre à tous les organismes. En plus de son territoire, l’organisme à une « bulle » personnelle qui maintient un espacement spécifique entre les individus. Il existe diffèrent déplacement appelé distance. La distance de fuite à partir de laquelle l’organisme prend la fuite. La distance critique qui sépare la « distance de fuite » de la « distance d’attaque ». La distance personnelle adoptée par les organismes « sans contact ». La distance sociale qui concerne les espèces « à contact ». On apprend que la reproduction est régulée en fonction de la densité de la population pour éviter la surpopulation.

Ensuite, l’auteur nous expose l’étude de John Calhoun, qui observe le comportement des colonies de rats en situation de stress. Le stress provoqué par la surpopulation est appelé un « cloaque » comportemental qui peut avoir des perturbations sur à la reproduction par exemple et provoqué des troubles de la territorialité et augmenter l’agressivité. L’auteur nous parle du terme d’exocrinologie. Qui est l’utilisation des produits des glandes odorifères afin de permettre aux organismes ou non de s’intégrer. Pour l’homme, l’évolution a été de développer nos « récepteur à distance » c’est-à-dire la vue et l’ouïe.

De plus, Les récepteurs sensoriels ont un rôle important dans la constitution des mondes perceptif. L’homme a deux catégories de récepteurs pour son appareil sensorial : qui sont les récepteurs à distance, les récepteurs immédiats. Les récepteurs comme l’ouïe et la vue sont des sens diffèrent. En effet ils n’ont pas la même quantité et nature d’information à traiter et pas la même quantité d’espace à contrôler. L’auteur admet que l’odorat est un mode primitif de communication, c’est un sens chimique. Il permet de différencier les individus et de les analyser. Cela diffère donc selon la culture. Par exemple, les arabes font le lien entre l’humeur et l’odeur. Les américains eux ont un odorat neutre, ils n’utilisent donc plus leur mode primitif.

Par ailleurs, Comme le langage, la perception de l’espace est différente selon les cultures. Par exemple l’architecture japonaise et l’architecture européenne n’ont rien à voir, de même pour l’aménagement des pièces. En fonction de comment l’espace sera fait et en fonction des cultures le ressenti ne sera pas le même. La perception de l’espace se fait aussi par la peau et certain sens sont liés, comme le tactile et le visuel. Mais qui reste différents. Le psychologue Gibson distingue deux touché diffèrent, l’actif et le passif qui sont respectivement l’exploration tactile et le fait d’être touché. La peau est donc aussi une façon de communiquer.

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