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DISCOURS DE JF KENNEDY A BERLIN EN 1963

Étude de cas : DISCOURS DE JF KENNEDY A BERLIN EN 1963. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  18 Mai 2016  •  Étude de cas  •  795 Mots (4 Pages)  •  2 641 Vues

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LITTERATURE ET SOCIETE DEVOIR 2

Question 1 : La situation initiale de ce texte est symbolisé par la parole du président américain J.F Kennedy. Le discours qu'il a prononcé a été effectué le 26 juin 1963 sur la place de l’hôtel de ville à Berlin. J.F Kennedy s'adresse à tous les citoyens de Berlin, et plus précisément à ceux de Berlin-Ouest en apportant toute sa solidarité à leur égard suivant la situation dans laquelle est l’Allemagne.

Question 2 : En 1963, l'Allemagne est au centre de la guerre froide qui oppose les EUA et l'URSS. Berlin est occupée par les puissances alliées, et isolé dans la zone soviétique. De plus, l’Allemagne est dans une situation que l'on pourrait qualifier de critique, surtout du côté de Berlin-Ouest. En effet, J.F Kennedy parle plus particulièrement de l'Ouest de Berlin, car le mur de Berlin qui est construit depuis deux ans maintenant, en 1961, obligent les Berlinois de l'ouest à vivre séparés des Berlinois de l'Est. Ils sont contraints de rester dans les clans communistes de la RDA et ils craignent que celle-ci prenne le pouvoir.

Question 3 : J.F. Kennedy se rend à Berlin-Ouest comme étant un invité. Il s'y rend pour dénoncer le système communiste, la privation des libertés et l'absence de démocratie. Il s'exprime également en leur faisant comprendre qu'il est de leur côté et pour les soutenir.

Question 4 :D'après J.F. Kennedy, le modèle soviétique est en faillite, car le mur empêche le peuple de s'enfuir, il y a aucune possibilité de s'exprimer et de donner son avis sans conséquences, il n'y a plus aucune libertés qui sont qualifiées comme étant essentielles, donc la paix ne peut être assurée. A ses yeux, cette faillite est visible aux yeux du monde entier. Certains éléments du texte lui donne effectivement raison : « Nous n’éprouvons aucune satisfaction en voyant ce mur, car il constitue à nos yeux une offense non seulement à l’histoire mais encore une offense à l’humanité. » , « La paix en Europe ne peut pas être assurée tant qu’un Allemand sur quatre sera privé du droit élémentaire des hommes libres à l’autodétermination. » , « Vous vivez sur un îlot de liberté mais votre vie est liée au sort du continent. » , « La liberté est indivisible, et tant qu’un seul homme se trouvera en esclavage tous les autres ne peuvent être considérés comme libres. » , « Mais quand tous les hommes seront libres, nous pourrons attendre en toute confiance le jour où cette ville de Berlin sera réunifiée ».

Question 5 : J.F. Kennedy prononce cette phrase « Ich bin ein Berliner » qui veut dire « Je suis un berlinois » pour montrer au peuple de Berlin Ouest qu'il est de leur côté. Il déclare sa solidarité avec ce peuple qui n'a plus de liberté, et il espère leur redonner espoir pour la réunification de ce pays, que ce mur de Berlin se brise enfin, et que Berlin ne soit plus au centre des conflits.

Question 6 : Les procédés de persuasion que J.F. Kennedy emploie pour scander son message aux Berlinois sont tout d'abord la répétition. Au tout début de son discours que nous pouvons voir sur la vidéo de son discours entier sur le site http://www.ina.fr, il dit « il y a deux mille ans … il y a deux mille ans [ … ] ». Ensuite, il fait une sorte d'ironie « le monde de la liberté » en parlant de l'Allemagne alors que c'est totalement le contraire. Ils utilisent aussi la narration, surtout les points d'exclamation. Ils expliquent que certaines personnes voient le communisme comme étant un point positif :  « Qu'ils viennent à Berlin ! », dit-il à plusieurs reprises.

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