Corrigé Corpus sur le thème de l'animal

Nous avons affaires ici à un corpus de quatre textes, tous des poèmes, s’étendant sur une période de deux-cents ans, ayant pour nom et pour thème celui d’un animal. Pour deux d’entre eux les poètes, Victor Hugo avec « J’aime l’araignée » ( Les contemplation,s 1856 ) et Francis Ponge ave « L’Huître » ( Le Parti pris des choses, 1942 ), montrent à travers leur poème que même les choses les plus insignifiantes ont de l’importances et que nous ne devons pas les ignorer, car l’on risquerait de passer à côté de quelque chose d’important, et pour cela, il faut passer outre l’aspect extérieur des choses ainsi que les idée préconçus.

Quant aux deux autres, « La chenille » de Guillaume Apollinaire (Le Bestiaire, 1918) et « Le lombric » de Jaque Roubaud (Les Animaux de tout le monde, 1990), le poète est comparé à uninsecte, démontré que malgré le peu d’importance qu’on puisse lui porté, il est utile à la société, et ce de tout temps.

Il s’agira ici de montrer les fonctions de la poésie à travers chacun de ces textes.Pour les textes A et C, le but des poètes et celui de dénoncer les injustices social tel que la laideur de la misère, l’ignorance et le rejet, ce par le biais de l’araignée, l’ortie et l’huître.

Il faut passer outre l’apparence extérieur pour pouvoir observer la vrai beauté du monde, et au lieu de rejeter ce qui nous inspire que du dédains, de la crainte, y prêter un peu plus attention et apprendre à les connaître, leur porter ainsi de l’attention.

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