Compte-rendu de Dites-le en images : des idées, un crayon de Bernard Lebelle et Guillaume Lagane

        Pour effectuer ce compte rendu, j'ai décidé de choisir l'ouvrage Dites-le en images : des idées, un crayon, écrit par Bernard Lebelle et Guillaume Lagane, en avril 2013.

J'ai choisi cet ouvrage car je voulais m'intéresser à une forme visuel de la communication. Après avoir effectué différentes recherches pour trouver l'ouvrage qui me conviendrait, j'ai découvert l'ouvrage Dites-le en images : des idées, un crayon, je me suis alors informé par rapport au sujet principal qui est la facilitation graphique. Ce thème m'a beaucoup intéressé, car j'ai trouvé l'idée vraiment innovante et que je ne la connaissais pas. C'est agréable d'enrichir ses connaissances.

        Ce livre de Bernard Lebelle et Guillaume Lagane, est un ouvrage portant sur la communication visuelle. En effet, ils apportent une explication très détaillé de la facilitation graphique :  « : action de rendre les éléments de réflexion, de discussion visuellement intelligibles à l’aide de dessins, de graphiques et de modèles conceptuels. » (définition tirée de l'ouvrage). Ils donnent tout d'abord une définition de la facilitation graphique, et nous expliquent également son utilisation et son but. Ensuite ils nous disent qui sont les utilisateurs de cette technique de communication. Enfin ils nous dévoilent pour quelles raisons cette forme de communication fonctionne t-elle.

        Cette technique appelée facilitation graphique (né dans les années 1960-1970), est une méthode de communication permettant d'aider à la visualisation d'une idée, ou bien même d'une discussion. Elle est efficace pour les collectifs, car elle améliore la cohésion entre participant, et rends meilleure et identique la compréhension d'un sujet par chacun des membres du collectifs. Elle est notamment composée par le Scribing, qui est plus simplement, la prise de note en direct. Les séances de facilitation graphique sont bien évidement composé d'un collectif, mais plus particulièrement par un facilitateur graphique et un facilitateur. Ce dernier a pour tâche d'encourager le collectif a donner des idées, d'améliorer l'échange entre chaque participant. Grâce à son travail, le facilitateur graphique peut maintenant entrer en jeu. Effectivement, avec les idées qui germent lors des discussions, il va pouvoir bâtir ces idées par des modèles visuels. Ce sont deux fonctions qui se complètent. Ensuite ils nous expliquent que la facilitation graphique est né dans les années 1960-1970 aux États-Unis grâce notamment à Micheal Doyle et Peter Strauss, qui fondent une entreprise (Interaction Associates),se basant sur la facilitation. Ils utilisent particulièrement la visualisation comme facilitation. C'est ensuite que David Sibbet (diplômé de journalisme) va enrichir et améliorer la notion de facilitation graphique.

Après cela, ils nous montrent qui sont les utilisateurs de cette méthode de travail. En effet, elle se destine initialement aux petits groupes, lors de réunion de travail par exemple. Seulement le but est d'élargir le nombre d'utilisateur. Bien que ce nombre a augmenté depuis la création de la facilitation graphique, ce nombre doit encore croître selon eux. Il s'agit d'une discipline pouvant convenir tant aux professionnels, qu'aux particuliers. Son usage peut être vraiment varié.

Ils répondent ensuite à la question du bon fonctionnement de cette méthode. En effet, selon eux, la réussite de la facilitation graphique réside principalement dans l'existence du dessin. Les auteurs expliquent qu'il est plus simple de comprendre une idée lorsqu'elle est dessiné sur un support. Le cerveau analyse les informations recueilli par l’œil, et il interprète plus simplement une vision de la chose lorsqu'elle est visuelle. Une discussion orale est donc selon eux plus compliqué a comprendre. Il s'agit donc d'une méthode pouvant être utilisé par tout le monde, et bien plus simple à comprendre que les autres manière de facilitation.

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