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Commentaire de la pièce de théâtre Dom Juan de Molière

Commentaire d'oeuvre : Commentaire de la pièce de théâtre Dom Juan de Molière. Recherche parmi 298 000+ dissertations

Par   •  25 Mars 2015  •  Commentaire d'oeuvre  •  798 Mots (4 Pages)  •  689 Vues

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Commentaire

Dom Juan est une comédie qu'on peut aussi qualifier comme une tragi-comédie écrite en 1665 par Molière, (après son œuvre Tartuffe) , inspirée d'un mythe espagnol .

Dans cette première scène de l'acte 3 Don Juan est en habit de campagne, et Sganarelle en habit de médecin , ce dernier décide de débattre avec Don Juan sur l’existence de Dieu .

Nous nous demanderons si Sganarelle arrive à être convaincant, arrive à procurer une bonne argumentation .

Tout d'abord nous mettrons en exergue l'argumentation de Sganarelle puis dans une seconde partie nous verrons que cette scène est comique .

Dans cette première partie nous allons étudier l'argumentation de Sganarelle  . Dans cette première scène du troisième acte on trouve deux avis différents , à la ligne 49 Sganarelle pose une question « est il possible que vous ne croyiez point du tout au ciel » cela crée et lance un débat sur l'existence de Dieu avec Dom Juan . Dom Juan refuse de croire à une puissance supérieure gouvernant le monde , à la ligne 27 il dit « je croix que deux et deux sont quatre , Sganarelle, et que quatre et quatre sont huit » avec cette réplique ce dernier explique qu'il ne croit qu'au fait scientifique et il ne croix pas à l’existence d'un maître de l'univers . Aussi ce séducteur évite plusieurs fois à répondre au question de son valet (l .16 )« Laissons cela » , (l.18) « Eh ! » , (l .20) « oui, oui » .

Ensuite on trouve un champs lexical de la croyance dans les répliques de Sganarelle « Ciel »(l.49), « Enfer »(l.51), « diable »(l.53), « autre vie »(l.55)

pour convaincre son maître de l’existence de dieu :« Voilà un homme que j’aurai bien de la peine à convertir »(l.57)

Aussi on a un raisonnement construit de la part de Sganarelle , répétition de « je » durant ces tirades , « pour moi » (l,65) .

celui ci essaie de généraliser son raisonnement par du présent de vérité générale « Il faut avouer »(l.64) , l’hyperbole « je vois les choses mieux que tous les livres » montre qu'il a confiance en lui . Enfin ce valet arrive aussi à se convaincre lui-même qu’il a raison : « quoi que vous puissiez dire, que tous les savants ne sauraient expliquer »(l.), car le thème lui tient vraiment à cœur. Cependant, malgré tous ces arguments Sganarelle est trahie par son caractère comique.

Dans cette seconde partie nous allons voir que cette scène est comique .

En un premier temps on trouve un comique de mot , quand Sganarelle dit « un homme qui (…) était à l'agonie (...)on s'avisa à la fin de lui donné de l'émétique » (l.33-35) , alors Don Juan lui demande si l'homme a guéri , son valet lui répond « non il mourut »(l.38) sa réponse est plutôt comique puisqu'on a l'impression qu'il s'en moque que la personne est morte .

Puis on a un autre comique de mot où la terre est comparé à un champignon

« que ce monde que nous voyons n'est pas un champignon qui soit venu tout seul en une nuit » (l.68,69) , ensuite Sganarelle

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